VIDÉO
Croisière à bord d'un patrouilleur français.
En vue du prochain départ du patrouilleur, des briques de charbon sont transbordées d’un wagon vers les soutes. Les mécaniciens se rendent à la salle des machines. Puis le patrouilleur appareille pour une mission de protection de navires de commerce. Dès la sortie du port, a lieu l’appel de l’équipage et le rappel des consignes en cas d’évacuation du bâtiment. Puis la bordée de service prend ses postes de veille. Des marins surveillent l’horizon d’autre lisent ou fument sur le pont. Un convoi est en vue. L’arraisonnement se fait par signaux à bras. Le patrouilleur prend alors sa place après la relève d’escorte et se tient en alerte, de jour comme de nuit, notamment avec les navires-hôpitaux. Mais voilà que le clairon sonne le branle-bas : les canonniers courent à leur poste et les pièces (filmées d’un autre bâtiment) tirent ; une grenade est prête à être lancée. Puis le patrouilleur, sa mission accomplie rentre au port et accoste. L’état-major et tout l’équipage posent sur le pont.
Notes :
Métrage d'origine inconnu ; métrage conservé 132 m.
1+16 cartons en français.
Film classé dans la « Liste complémentaire : service cinématographique de la marine » dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Film figurant sur un "Inventaire des films appartenant au ministère de la marine" (archive non datée conservée à la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine).
Sortie : Omnia Pathé, Paris, semaine du 19 au 25/04/1918 ; d'après le catalogue " De Pathé Frères à Pathé Cinéma, 1915, 1916, 1917, 1918 " d'Henri Bousquet.
Le scénario est assez semblable à celui du film « Journal d’un patrouilleur (de Toulon à Bizerte) », réf. 14.18 B 344.
L’ensemble du film bénéficie d’éclairages remarquables (couchers ou levers de soleil) dont les effets sont soulignés par l’utilisation de teintages variés.
Notes :
Métrage d'origine inconnu ; métrage conservé 132 m.
1+16 cartons en français.
Film classé dans la « Liste complémentaire : service cinématographique de la marine » dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Film figurant sur un "Inventaire des films appartenant au ministère de la marine" (archive non datée conservée à la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine).
Sortie : Omnia Pathé, Paris, semaine du 19 au 25/04/1918 ; d'après le catalogue " De Pathé Frères à Pathé Cinéma, 1915, 1916, 1917, 1918 " d'Henri Bousquet.
Le scénario est assez semblable à celui du film « Journal d’un patrouilleur (de Toulon à Bizerte) », réf. 14.18 B 344.
L’ensemble du film bénéficie d’éclairages remarquables (couchers ou levers de soleil) dont les effets sont soulignés par l’utilisation de teintages variés.
Catégories
| Première guerre mondiale |
| Marine nationale |
| Marine nationale |
| Patrouilleur français 1re guerre mondiale |
Informations
| Référence | 14.18 B 317 |
|---|---|
| Durée | 00:06:52 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Produit monté |
| Origine | Service cinématographique de la Marine |