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Magazine Top Défense n° 75.

Le fantassin du futur".

Le 3e Régiment d'infanterie (RI) doit tester un nouvel équipement pour les unités de combat. Afin de répondre à tous les besoins du combattant, ce système d'arme se compose des dernières innovations techonologiques : un gilet pare-éclats, des lunettes pare-éclats, un poste émetteur-récepteur, des lunettes de visée avec intensificateur de lumière, d'armes munies de pointeurs laser... Un système de positionnement par GPS (Global positionning system) permet de situer le groupe de combat avec précision. Un test nocturne a lieu et le groupe de combat, qui investit une maison, parvient à en prendre le contrôle. Enfin, c'est à l'Etablissement techniques d'Angers (ETAS), qu'un parcours du combattant parachève les tests d'équipements du 3e RI. Ce parcours, effectué avec succès et contrôlé par un ordinateur, confirme la dotation prochaine de ce matériel.

"Course à la discrétion".

Echapper aux radars est une des plus grandes préoccupations militaires actuelles majeures. Pour cela, des matériels dits "furtifs" sont mis au point pour répondre aux besoins de la Défense. A Toulon, le "Surcouf", une frégate furtive, est le premier bâtiment difficilement repérable par les radars, grâce à la conception de sa coque et à ses camouflages. Ainsi, si le "Surcouf" absorbe les ondes, la salle des machines est également adaptée à la discrétion accoustique. Grâce à des tests spécifiques, d'autres matériels ont été mis au point, comme les hélices du sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE) "Le Triomphant". Le capitaine de vaisseau Claude Marcus, commandant du "Surcouf", parle de l'avancée technologique de son bâtiment.

"Rubis".

Les gendarmes se mettent à l'heure de la communication numérique en utilisant le réseau de radio-communication "Rubis". Celui-ci permet la simultanéité des transmissions et l'accès à des fichiers croisés. Avec ce procédé, la recherche de criminels est facilitée. Afin de montrer les performances de ce réseau, la Gendarmerie simule une recherche d'enfant. Les moyens de communication en temps réel du système Rubis permettent de coordonner des actions rapides.

"Plus haut, plus loin".

L'Institut de médecine aérospatiale du service de santé des armées (IMASSA) forme des spécialistes en médecine aérospatiale. Cet institut prépare les futurs pilotes ou spationautes et cherche à améliorer leur vision dans l'espace, à leur éviter le phénomène d'évanouissement en vol ou encore à développer leurs sens au moyen d'un casque sensoriel. Pour mettre au point ces procédés, les pilotes subissent des tests en centrifugeuse, font des essais de comportement en état d'apesanteur et testent également un nouveau mélange d'oxygène. Les chercheurs, qui sont des spécialistes dans le domaine aéronautique ou spatial, comme le médecin des armées Anne Guillaume, spécialiste de recherches au Service de santé des armées ou le médecin principal Corinne Roumes, chercheur physiologiste, apportent des précisions sur leurs activités à l'IMASSA.

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