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Sortie des dames auxiliaires pour le déjeuner. [légende d'origine]
Sortie des dames auxiliaires de l'école militaire pour le déjeuner.
Catégories
| Front occidental |
| SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917) |
| Ville |
| École supérieure de guerre (ESG) |
Mots clés
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 9x12 |
| Support d'origine | Plaque de verre |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | paysage |
Propriétés
| Référence | SPA 3 P 34 |
|---|---|
| Date de début | 15/01/1916 |
| Date de fin | 15/01/1916 |
| Photographe(s) | Gabriel Boussuge - |
| Lieu(x) | Paris - Paris-Ile-de-France - |
| Origine | SPA/SPCA |
| Mention obligatoire | © Gabriel Boussuge, / ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Le bureau des dames auxiliaires à l'école militaire, à Paris.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Le bureau affecté aux "dames auxiliaires" (selon la légende donnée par l'opérateur), à l'école militaire, à Paris.
Vue intérieure des bureaux ; la sortie des dames auxiliaires pour le déjeuner.
La guerre apporta un réel changement dans la répartition de la main-d’oeuvre féminine (travail dans des secteurs plus variés et souvent plus qualifiés, remplacement des hommes dans des métiers où les femmes étaient rares). Début 1916, l’emploi des femmes s’étend dans les services de l’armée, tels que la comptabilité, les renseignements, l’infirmerie, mais aussi la lingerie et les cuisines.
Une expérience avait été menée dans les casernes de Caen au cours de l’année 1915.
Vue intérieure des bureaux ; la sortie des dames auxiliaires pour le déjeuner.
La guerre apporta un réel changement dans la répartition de la main-d’oeuvre féminine (travail dans des secteurs plus variés et souvent plus qualifiés, remplacement des hommes dans des métiers où les femmes étaient rares). Début 1916, l’emploi des femmes s’étend dans les services de l’armée, tels que la comptabilité, les renseignements, l’infirmerie, mais aussi la lingerie et les cuisines.
Une expérience avait été menée dans les casernes de Caen au cours de l’année 1915.