Ce document mêle des éléments et des rushes du film « La femme française pendant la guerre » d’Alexandre Devarennes. Certaines sont répétées plusieurs fois. Description :

Carton « A l’usine ». Des femmes manipulent des chariots électriques de transport, travaillent à la fabrication d’obus.
D’autres travaillent dans les transports publics : conductrices de tramways, contrôleuses d’autobus ou de métro, serveuses au wagon restaurant, mécaniciennes d’entretien ou de nettoyage du métropolitain, factrices, bagagistes, conductrice de fiacre.
Sur les toits enneigés de Paris, elles font le ramonage des cheminées (grande roue et tour Eiffel dans le brouillard à l’arrière-plan).
Près d’un atelier de camouflage (TC 00 :04 :53), elles préparent et entreposent des filets.
Dans une usine d’aviation, elles effectuent l’entoilage des ailes.
Dans un ouvroir, elles tricotent pour les soldats. Dans un entrepôt de textile, elles préparent l’expédition de couvertures (vue en plongée, images sombres).
Une femme en veste de cuir lave un camion de pompiers.
Dans une usine d’armement (TC 00:09:17), des femmes conduisent des chariots électriques de divers modèles.
Lors d’un moment de loisirs, des femmes dansent dans un atelier, filmées à contre-jour (TC 00:11:25, images très sombres)

Notes :
Alexandre Devarennes est décédé en 1971. Ses œuvres sont sous droit jusqu'au 31/12/ 2041. Son ayant-droit, Noëlle Guibert, ancienne directrice du département des arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France, a cédé ses droits à l'ECPAD par un contrat de cession conclu le 20 janvier 2015 et modifié par avenant du 16 juillet 2015, aux termes duquel l'ECPAD peut exploiter librement l’œuvre sous réserve du respect des dispositions suivantes :
- aucun marchandising ;
- mentions obligatoires suivantes à apposer dans tout projet intégrant lesdites archives : "ECPAD/France/1918/Trois familles/Alexandre Devarennes" et "Remerciements à Noëlle Guibert et Francine Guibert, petites-filles du réalisateur Alexandre Devarennes" ;
- informer Madame Guibert des projets intégrant ces archives. Contact email : [email protected]
Dans une interview, en 1968, Alexandre Devarennes mentionne que le caméraman était Alphonse Gibory.