VIDÉO
Nouveau magazine du SCA n°6.
Ile d'Aix".
Des unités françaises de la Marine et des Forces françaises de l'intérieur débarquent sur l'île d'Aix, au large de Rochefort, après le départ des forces d'occupation allemandes : l'île est libérée. Les soldats progressent au pas, de façon solennelle, vers l'intérieur des terres, et le drapeau français peut à nouveau être hissé sur le fronton de l'Hôtel de ville.
"Artillerie blindée".
"La motorisation à outrance a déterminé une mobilité, une élasticité des fronts qui rend précaire le sort des batteries lourdes dont le déplacement est lent". Pour faire face au canon d'assaut allemand monté sur châssis chenillé, les alliés ont fabriqué des pièces d'artillerie mobiles de gros calibres. Cette mobilité, associée au blindage des chars sur lesquels sont montés ces canons, permet aux artilleurs de se placer au plus près des lignes ennemies et de se déplacer rapidement. Dans les Vosges, sur le front, cette nouvelle catégorie d'armes est très utile. Un exercice d'alerte d'une batterie démontre la rapidité d'emploi des canons mobiles : les soldats se réveillent en urgence, chargent les munitions dans le véhicules, pointent le canon vers la cible et tirent.
"Ambulanciers".
Souvent au péril de leur propre vie, les ambulanciers parcourent les champs de bataille pour porter secours aux blessés. Sous une forme scénarisée, cette reconstitution, pour les besoins de la caméra, présente les différentes étapes d'une évacuation sanitaire : du front, où le blessé reçoit les premiers soins dispensés par les ambulanciers, au poste de secours du bataillon, transporté par camion, jusqu'au point de secours du régiment (PSR), où deux médecins militaires pratiquent une première intervention chirurgicale à caractère d'urgence.
"Alsace et Lorraine".
Poursuivant leur périple sur tous les fronts, le général de Gaulle et Winston Churchill se rendent dans l'est de la France. Aux camps de Maiche et du Valdahon, ils sont venus apporter encouragements et réconfort aux soldats de la 1re Armée du général de Lattre de Tassigny. En compagnie du général Juin et de Monsieur Diethelm, ministre de la guerre, ils passent les troupes en revue.
Peu après, la ville de Metz est libérée. Les troupes américaines, les premières à être entrées dans la ville, sont guidées par un émissaire vers les soldats allemands qui désirent se rendre. Faits prisonniers, ceux-ci sont rassemblés, fouillés et mis en colonnes pour traverser la ville. Au cours d'une prise d'armes, le général Walker, commandant les forces américaines, remet les clefs de la ville au général de division André Dody, gouverneur de la ville, et au préfet de la Moselle.
Belfort est, elle aussi, libérée. Le général Eisenhower arrive pour décider de la suite de la progression. Il est accueilli par le général de Lattre de Tassigny. La nouba des tirailleurs marocains ouvre le défilé célébrant la libération de la ville.
Les chars de la 2e division blindée (DB) du général de brigade Philippe Leclerc de Hautecloque se dirigent vers l'Alsace ; le génie s'avère très utile pour supprimer tous les obstacles disposés par l'ennemi en fuite et les ponts détruits. Arrivés dans Strasbourg, dont les faubourgs résonnent encore des coups de canons et des coups de feux échangés, les fusiliers-marins de la division Leclerc patrouillent dans les rues encore désertes mais qui s'animent peu à peu. Les troupes sont rassemblées sur la place Kléber pour honorer le serment fait à Koufra de "ne déposer les armes que quand le drapeau français flottera sur la cathédrale de Strasbourg". La foule assiste en liesse au défilé qui mène les Français sur la route vers l'Allemagne...
Des unités françaises de la Marine et des Forces françaises de l'intérieur débarquent sur l'île d'Aix, au large de Rochefort, après le départ des forces d'occupation allemandes : l'île est libérée. Les soldats progressent au pas, de façon solennelle, vers l'intérieur des terres, et le drapeau français peut à nouveau être hissé sur le fronton de l'Hôtel de ville.
"Artillerie blindée".
"La motorisation à outrance a déterminé une mobilité, une élasticité des fronts qui rend précaire le sort des batteries lourdes dont le déplacement est lent". Pour faire face au canon d'assaut allemand monté sur châssis chenillé, les alliés ont fabriqué des pièces d'artillerie mobiles de gros calibres. Cette mobilité, associée au blindage des chars sur lesquels sont montés ces canons, permet aux artilleurs de se placer au plus près des lignes ennemies et de se déplacer rapidement. Dans les Vosges, sur le front, cette nouvelle catégorie d'armes est très utile. Un exercice d'alerte d'une batterie démontre la rapidité d'emploi des canons mobiles : les soldats se réveillent en urgence, chargent les munitions dans le véhicules, pointent le canon vers la cible et tirent.
"Ambulanciers".
Souvent au péril de leur propre vie, les ambulanciers parcourent les champs de bataille pour porter secours aux blessés. Sous une forme scénarisée, cette reconstitution, pour les besoins de la caméra, présente les différentes étapes d'une évacuation sanitaire : du front, où le blessé reçoit les premiers soins dispensés par les ambulanciers, au poste de secours du bataillon, transporté par camion, jusqu'au point de secours du régiment (PSR), où deux médecins militaires pratiquent une première intervention chirurgicale à caractère d'urgence.
"Alsace et Lorraine".
Poursuivant leur périple sur tous les fronts, le général de Gaulle et Winston Churchill se rendent dans l'est de la France. Aux camps de Maiche et du Valdahon, ils sont venus apporter encouragements et réconfort aux soldats de la 1re Armée du général de Lattre de Tassigny. En compagnie du général Juin et de Monsieur Diethelm, ministre de la guerre, ils passent les troupes en revue.
Peu après, la ville de Metz est libérée. Les troupes américaines, les premières à être entrées dans la ville, sont guidées par un émissaire vers les soldats allemands qui désirent se rendre. Faits prisonniers, ceux-ci sont rassemblés, fouillés et mis en colonnes pour traverser la ville. Au cours d'une prise d'armes, le général Walker, commandant les forces américaines, remet les clefs de la ville au général de division André Dody, gouverneur de la ville, et au préfet de la Moselle.
Belfort est, elle aussi, libérée. Le général Eisenhower arrive pour décider de la suite de la progression. Il est accueilli par le général de Lattre de Tassigny. La nouba des tirailleurs marocains ouvre le défilé célébrant la libération de la ville.
Les chars de la 2e division blindée (DB) du général de brigade Philippe Leclerc de Hautecloque se dirigent vers l'Alsace ; le génie s'avère très utile pour supprimer tous les obstacles disposés par l'ennemi en fuite et les ponts détruits. Arrivés dans Strasbourg, dont les faubourgs résonnent encore des coups de canons et des coups de feux échangés, les fusiliers-marins de la division Leclerc patrouillent dans les rues encore désertes mais qui s'animent peu à peu. Les troupes sont rassemblées sur la place Kléber pour honorer le serment fait à Koufra de "ne déposer les armes que quand le drapeau français flottera sur la cathédrale de Strasbourg". La foule assiste en liesse au défilé qui mène les Français sur la route vers l'Allemagne...
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Catégories
Propriétés
Réalisateur | SCA - |
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Genre | Film d'actualité |
Lieu(x) | Ile d'Aix - Maiche - Metz - Strasbourg - Valdahon - Vosges - |
Personnes représentées | Churchill, Winston - Gaulle, Charles de - Lattre de Tassigny, Jean de - Leclerc de Hauteclocque, Philippe - Dody, André - Walker, Walton Harris - Juin, Alphonse - Diethelm, André - Béthouart, Antoine Marie Emile - Eisenhower, Dwight |
Informations
Référence | MAG 206 |
---|---|
Durée | 00:11:21 |
Date de réalisation | 14/12/1944 |
Format d'origine | 35 mm |
Couleur | Noir et blanc |
Typologie | Produit monté |
Origine | SCA |