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Souchez, ruines. [légende d'origine]
Théâtre de la bataille d'Artois de mai 1915, le village de Souchez est entièrement rasé par les bombardements et les inondations causées par le détournement du ruisseau Carency par les troupes allemandes. A la fin de la guerre, le village est adoptée par la ville britannique de Kensington, en souvenir du régiment qui s'y battit. Des troupes britanniques occupent les ruines du village et de l'église. Note : photo interdite par la censure à l'époque.
Catégories
Front occidental |
SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
Village |
Motocyclette étrangère 1re guerre mondiale |
Armée Grande-Bretagne |
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 5,5x13 |
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | paysage |
Propriétés
Référence | SPA 3 LO 244 |
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Date de début | 28/07/1917 |
Date de fin | 28/07/1917 |
Photographe(s) | Marcel Adrien Léon Lorée - |
Lieu(x) | Pas-de-Calais - Souchez - |
Origine | SPA/SPCA |
Mention obligatoire | © Marcel Lorée/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Etat des lieux après la bataille de la Somme au sud de Péronne et destruction de l'industrie minière près de Lens en juillet 1917.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
D'avril à mai 1917, les troupes britanniques alliées ont pu contre-attaquer les forces allemandes et remporter une victoire. Ces batailles ont cependant laissé un véritable désert de ruines.
Dans le Pas-de-Calais, l'opérateur photographie le champ de bataille de Vimy (LO 241 à LO 247) et de la plaine de Lens (LO 226 à LO 236) quelques mois après l'attaque d'avril 1917. La voiture des opérateurs de la SPCA (Section photographique et cinématographique de l'armée), atteinte par des éclats d'obus, est tractée par un cavalier britannique (LO 247 et LO 248). Dans Béthune (LO 237 à LO 239) les troupes britanniques occupent les habitations dominées par un beffroi demeuré encore intact.
Dans la Somme, de Combles à Maurepas, de Péronne aux frontières de l'Aisne et du Pas-de-Calais, l'opérateur parcourt les villages situés sur les lignes de front de l'offensive de juillet 1916 et du printemps 1917, dont la plupart sont entièrement rasés (LO 250 à LO 386). Les églises et l'outil agricole de ces régions dévastées sont tout particulièrement pris en image par le photographe. Les sucreries (LO 300, LO 323 et LO 343) en ruines et les fermes (LO 395) dévastées témoignent de l'activité agricole d'avant-guerre. Dans le secteur et dans la ville de Péronne, les ruines se succèdent, montrant à certains détours fait par l'objectif la présence de soldats britanniques. Dans la ville de Péronne en ruine (LO 399 à LO 410, et LO 419 à LO 422), les rues désertes et les maisons aux façades éventrées sont principalement les sujets photographiés par l'opérateur de la SPCA. Il prend alors des images des tombes et caveaux de famille vandalisés par les troupes allemandes, souvent utilisés comme abris. Sur le Mont-Saint-Quentin (LO 411 à LO 418), futur champ de bataille du mois d'août 1918, les anciennes positions allemandes (tranchées et postes d'observation) sont visitées par les opérateurs de l'armée.
Dans le Pas-de-Calais, l'opérateur photographie le champ de bataille de Vimy (LO 241 à LO 247) et de la plaine de Lens (LO 226 à LO 236) quelques mois après l'attaque d'avril 1917. La voiture des opérateurs de la SPCA (Section photographique et cinématographique de l'armée), atteinte par des éclats d'obus, est tractée par un cavalier britannique (LO 247 et LO 248). Dans Béthune (LO 237 à LO 239) les troupes britanniques occupent les habitations dominées par un beffroi demeuré encore intact.
Dans la Somme, de Combles à Maurepas, de Péronne aux frontières de l'Aisne et du Pas-de-Calais, l'opérateur parcourt les villages situés sur les lignes de front de l'offensive de juillet 1916 et du printemps 1917, dont la plupart sont entièrement rasés (LO 250 à LO 386). Les églises et l'outil agricole de ces régions dévastées sont tout particulièrement pris en image par le photographe. Les sucreries (LO 300, LO 323 et LO 343) en ruines et les fermes (LO 395) dévastées témoignent de l'activité agricole d'avant-guerre. Dans le secteur et dans la ville de Péronne, les ruines se succèdent, montrant à certains détours fait par l'objectif la présence de soldats britanniques. Dans la ville de Péronne en ruine (LO 399 à LO 410, et LO 419 à LO 422), les rues désertes et les maisons aux façades éventrées sont principalement les sujets photographiés par l'opérateur de la SPCA. Il prend alors des images des tombes et caveaux de famille vandalisés par les troupes allemandes, souvent utilisés comme abris. Sur le Mont-Saint-Quentin (LO 411 à LO 418), futur champ de bataille du mois d'août 1918, les anciennes positions allemandes (tranchées et postes d'observation) sont visitées par les opérateurs de l'armée.
Photos du reportage(191)
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Bertincourt, les ruines.
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Rancourt, l'emplacement du village.
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Béthune, Grand-place.
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Béthune, le beffroi.
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La crête de Vimy.
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Marchelepot, les ruines.
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Estrées-en-Chassées, l'église.
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Estrées-en-Chassées, l'église.
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Estrées-en-Chassées, l'église.
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Assevilliers, l'église.
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Assevilliers, l'église.
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Assevilliers, l'église.
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Belloy-en-Santerre, l'église.
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Belloy-en-Santerre, l'église.
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Belloy-en-Santerre, l'église.
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Villers-Carbonnel, l'église.
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Villers-Carbonnel, l'église.
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Villers-Carbonnel, l'église.
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Barleux, ruines.
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Barleux, ruines.