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Transport de chalands de débarquement (TCD) Ouragan (L9021) au mouillage dans le lagon d'un atoll lors du tir Canopus au-dessus de l'atoll de Fangataufa.
Catégories
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 24x36 |
| Support d'origine | Acétate |
| Couleur | Couleur |
| Orientation | paysage |
Propriétés
| Référence | F 68-318 LC38 |
|---|---|
| Date de début | 24/08/1968 |
| Date de fin | 24/08/1968 |
| Photographe(s) | Michel Leblanc - |
| Lieu(x) | Fangataufa - Pacifique - Polynésie française - |
| Origine | ECA |
| Mention obligatoire | © Michel Leblanc/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Explosion de la première bombe thermonucléaire française (tir Canopus) à Fangataufa en Polynésie française.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Un ballon captif gonflé à l’hélium porte une nacelle contenant la bombe H. Lors de la campagne d’essais nucléaires, la bombe s’apprête à être explosée à 520m d’altitude au-dessus du lagon de l’atoll de Fangataufa.
Dans ce reportage, plusieurs vues aériennes du champignon atomique se succèdent. Après le tir, des avions Vautour viennent tirer des missiles de prélèvements dans le nuage nucléaire créé par l’explosion. Ces missiles enregistrent les prélèvements des particules émises par l’explosion. Les données des particules récupérées par ces fusées seront ensuite analysées dans les laboratoires du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). Puis, une vue du Poste d’Enregistrement Avancée (PEA), dit Dindon, du CEP à Moruroa, est proposée. Construit comme un bunker, le PEA abrite des engins de mesure, des radars et des appareils de transmission de données.
Note : voir le court métrage documentaire sur la préparation et le tir Canopus : "L'Heure H en Polynésie française" réalisé en 1968 par Michel Leblanc et référencé SCA 466. Le reportage SCA 472 du Magazine des Armées 68/6 fait également référence à cet évènement).
Photos du reportage(63)
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Vue aérienne du nuage résultant de l'explosion du premier engin français à fusion nucléaire dit bombe H lors du tir Canopus sous ballon au-dessus du lagon de l'atoll de Fangataufa le 24 août 1968.
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Vue aérienne du nuage résultant de l'explosion du premier engin français à fusion nucléaire dit bombe H lors du tir Canopus sous ballon au-dessus du lagon de l'atoll de Fangataufa le 24 août 1968.
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Vue aérienne du ballon captif gonflé à l'hélium à 520 m d'altitude supportant la nacelle du premier engin français à fusion nucléaire dit bombe H lors du tir Canopus au-dessus du lagon de l'atoll de Fangataufa le 24 août 1968.
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Avion de transport Dassault Mystère 20 du groupe de liaisons aériennes ministérielles (GLAM) sur le terrain d'aviation du Centre d'Expérimentation du Pacifique (CEP) à Fangataufa.
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Bunker du poste d'enregistrement avancé (PEA) du Centre d'expérimentation du Pacifique (CEP) Dindon à Moruroa.
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Vue aérienne du nuage résultant de l'explosion du premier engin français à fusion nucléaire dit bombe H lors du tir Canopus sous ballon au-dessus du lagon de l'atoll de Fangataufa le 24 août 1968.
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Avion bombardier Vautour volant près du nuage nucléaire du tir Canopus à Fangataufa.
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Vol d'avions bombardiers Vautour équipés de missiles Matra 638 devant recueillir des prélèvements du tir Canopus à Fangataufa.
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Vol d'avions Vautour équipés de missiles Matra avant leur tir de prélèvements dans le nuage du tir Canopus à Fangataufa.
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Le bâtiment de soutien logistique (BSS) Rance (A618) et le bâtiment-base (BB) Maurienne (A637) à quai, probablement au port de la base avancée du centre d'expérimentations du Pacifique (CEP) sur l'atoll d'Hao ou à Moruroa..
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Au premier plan, une flotte de voitures Citroën 2 chevaux. Le bâtiment de soutien logistique (BSS) Rance A618 et le bâtiment-base (BB) Maurienne (A637) à quai, probablement au port de la base avancée du centre d'expérimentations du Pacifique (CEP) sur l'atoll d'Hao ou à Moruroa..
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Le bâtiment de soutien logistique (BSS) Rance A618 et le bâtiment-base (BB) Maurienne A637 à quai, probablement au port de la base avancée du centre d'expérimentations du Pacifique (CEP) sur l'atoll d'Hao ou à Moruroa.
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Antenne et pylone métallique supportant des instruments de mesure ou d'enregistrement liés aux tirs.
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Le général d'armée aérienne Jean Thiry, directeur des centres d'expérimentations nucléaires (DIRCEN), lors du tir Canopus, à bord du croiseur De Grasse. En arrière-plan, une caméra.
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Le général d'armée aérienne Jean Thiry, directeur des centres d'expérimentations nucléaires (DIRCEN), lors du tir Canopus, à bord du croiseur De Grasse. En arrière-plan, une caméra.
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Robert Galley, ministre délégué chargé de la Recherche scientifique et des Questions atomiques et spatiales, félicite Jacques Robert, directeur des applications militaires (DAM) du commissariat à l’énergie atomique (CEA), ingénieur concepteur et "père de la bombe H", engin français à fusion nucléaire, lors du tir Canopus, à bord du croiseur De Grasse.
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Robert Hirsch, administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), félicite Jacques Robert, directeur des applications militaires (DAM) du commissariat à l’énergie atomique (CEA), ingénieur concepteur et "père de la bombe H", engin français à fusion nucléaire, lors du tir Canopus, à bord du croiseur De Grasse.
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Portrait de groupe de deux civils au pied de l'avion de transport Mystère 20 du groupe de liaisons aériennes ministérielles (GLAM) sur le terrain d'aviation du Centre d'Expérimentation du Pacifique (CEP) à Fangataufa. De dos un maréchal des logis de la gendarmerie en faction.
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Photographie de groupe de civils, avec un colonel (air), le général d'armée aérienne Jean Thiry, DIRCEN, et le ministre Robert Galley au pied d'un avion de transport Mystère 20 du GLAM sur le terrain d'aviation du CEP à Fangataufa.
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Photographie de groupe d'un commandant (air), d'un civil, d'un colonel (air), avec le général Thiry, DIRCEN, et le ministre Robert Galley au pied d'un avion de transport Mystère 20 du GLAM sur le terrain d'aviation du CEP à Fangataufa.