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Dunkerque. Le pont du torpilleur de haute mer L’Intrépide (qui a sombré depuis la prise de la photographie). [légende d’origine]
Catégories
Front occidental |
SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917) |
Artillerie de marine embarquée française 1re guerre mondiale |
Torpilleur français 1re guerre mondiale |
Mots clés
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 9x12 |
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | paysage |
La photographie est issue du reportage suivant :
Etat des lieux de Dunkerque et de quelques villes du front belge.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Une école pratique de commerce et d'industrie a été transformée en usine de guerre : les enfants de l'école tournent des obus et fabriquent des torpilles aériennes.
La ville de Dunkerque et sa région, ainsi que des villages de Flandre-occidentale ont subi de violents bombardements détruisant de nombreuses maisons et monuments.
La région de Nieuport-Bains est en partie protégée des bombardements par la construction de casemates dans les dunes, d'abris fortifiés et de tranchées de défense couvertes. Le commandant d'artillerie lourde Quinton visite le secteur qu'il commande et donne des ordres.
La plage de Malo-les-Bains représente également un lieu stratégique de défense. Dans les dunes de la région de Coxyde-Bains, se dresse un camp français dit "Camp Bador".
Cette région développe et enrichie ses moyens de transmission. Ainsi, des sapeurs du 8e régiment du génie construisent une ligne téléphonique à proximité du poste héliographique de Buydcoote et utilisent une auto pigeonnier militaire à Alveringhem, ainsi qu'un pigeonnier militaire à Oost Dunkerque pour lacher des pigeons voyageurs. Le chenil militaire de Rousbrugge permet aux chiens de liaison de s'entrainer dans des tranchées.
Photos du reportage(200)
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Près de Forthem. Canon de 240 qui détruisit la pièce allemande de gros calibre qui bombardait Dunkerque.
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Près de Forthem (Belgique). Le canon de 240 sur affût échantignolle, sous abri, qui détruisit la pièce allemande de gros calibre qui bombardait Dunkerque. Vue prise de l’extérieur de l’abri.
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Près de Forthem (Belgique). Le canon de 240 sur affût échantignolle, sous abri, qui détruisit la pièce allemande de gros calibre qui bombardait Dunkerque. Vue prise de l’extérieur de l’abri (en position de tir).
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Près de Forthem (Belgique). Le canon de 240 sur affût échantignolle, sous abri, qui détruisit la pièce allemande de gros calibre qui bombardait Dunkerque. Chargement du canon à l’intérieur de l’abri.
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Zuydcoote. Sapeurs du 8e Génie construisant une ligne téléphonique.
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Zuydcoote. Sapeurs du 8e Génie construisant une ligne téléphonique.
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Zuydcoote. Sapeurs du 8e Génie construisant une ligne téléphonique.
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Dunkerque. La toiture de l’église St Eloi atteinte par les obus allemands de gros calibre, en partie bouchée par des planches, en partie encore effondrée (vue prise du beffroi).
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Dunkerque. La toiture de l’église St Eloi atteinte par les obus allemands de gros calibre, en partie bouchée par des planches, en partie encore effondrée (vue prise du beffroi).
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Panorama de Dunkerque pris du sommet du beffroi. La place Jean Bart au premier plan.
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Dunkerque. Poste de guetteurs au sommet du beffroi.
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Près de Coxyde-Bains. Camp français dans les dunes dit camp Bador, un coin du camp.
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Près de Coxyde-Bains. Camp français dans les dunes dit camp Bador, un coin du camp.
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Près de Coxyde-Bains. Camp français dans les dunes dit camp Bador, le puits du camp.
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Près de Coxyde-Bains (Belgique). Camp français dans les dunes dit camp Bador. La cuisine du camp, au fond les maisons de Coxyde-Bains.
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Près de Coxyde-Bains (Belgique). Ensemble du camp français, au fond les maisons de Coxyde-Bains.
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Près de Coxyde-Bains (Belgique). Camp français. Les sous-officiers rassemblés pour le rapport.
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Près de Coxyde-Bains (Belgique). Un coin du camp français.
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Près de Coxyde-Bains (Belgique). Au camp français, le commandant Delache du 165e infanterie. Au centre, le D. Delage aide-major du 165e infanterie à droite. Le capitaine Louis Gillet officier à l’Etat-Major du 36e Corps (à gauche).
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Sur la route de Coxyde à Nieuport. Lieu-dit la Sablière. Chantier d’approvisionnement en matériaux de construction. Vue d’ensemble.