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Bucy-le-Long (Aisne), une des pièces de 340 qui contrebattent les pièces qui tirent sur Paris. [légende d’origine]

Photographe(s) : Maurice Alexis Louis Boulay



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Depuis le 21 mars 1918, les Wilhemgeschutze (canons de Wilhem) bombardent Paris. A plusieurs reprises, la capitale a été frappée par les obus tirés depuis les positions de Crépy-en-Laonnois, installées dans la fôret de Saint-Gobain. Les batteries d'artilleries lourdes sur voie ferrée tentent de neutraliser les tirs allemands. Une caméra du SPCA est visible sur la gauche du cliché.

Note : décision de la censure : "Interdit".

Informations techniques

Procédé original Négatif, Stéréoscopique
Format d'origine 6x13
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation paysage

Propriétés

Référence SPA 35 BO 1713
Date de début 16/04/1918
Date de fin 16/04/1918
Photographe(s) Maurice Alexis Louis Boulay -
Lieu(x) Aisne - Bucy-le-Long - Picardie -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Maurice Boulay/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

La mise en batterie de pièces d'artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF) de 340 mm modèle 1912.

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Description du reportage

Depuis le 21 mars 1918, les Wilhemgeschutze (canons de Wilhem) bombardent Paris. A plusieurs reprises, la capitale a été frappée par les obus tirés depuis les positions de Crépy-en-Laonnois, installées dans la forêt de Saint-Gobain. Les batteries d'artilleries lourdes de 340 mm modèle 1912 montées sur voie ferrée tentent de neutraliser les tirs allemands. Le reportage contient les images des étapes de l'approvisionnement et du tir des obus de gros calibre.

Note : voir l'équivalent en film aux référence suivantes : 14.18 A 60, B 60 et 14.18 A 325.

Photos du reportage(12)