VIDÉO
Nos poilus en Alsace. (Première partie).
Première partie du film "Nos poilus en Alsace". (Voir la référence 14.18 B 333 pour la deuxième partie).
Dans un poste d’observation de l’artillerie, un soldat téléphoniste transmet un message à un officier et d'autres préparent des rondins de bois pour construire des abris. A Herbéviller (Meurthe-et-Moselle), les servants d’une pièce de 75 mm camouflée courent se mettre en place et ouvrent le feu. Des chasseurs alpins et des artilleurs exécutent un tir avec un obusier de 220 mm surnommé « August’ ». Un moment de détente : les artilleurs jouent aux boules... Alerte ! Un aéroplane ennemi est signalé. Vite, les servants dissimulent la pièce sous des branchages et une mitrailleuse prise aux Allemands est mise en DCA. Après l’alerte, les tirs de 220 mm se poursuivent. Les tâches des poilus sont diverses : pose de barbelés, remise en état des tranchées, réparation urgente de ligne téléphonique. Un train, pris aux Allemands, s’arrête en gare de Wesserling (Haut-Rhin) ; des soldats descendent. Le train repart, emportant voyageurs et marchandises. Sous un auvent, des « cuistots » s’affairent derrière des marmites, d’autres reviennent avec des provisions dans un fourgon de déménagement réquisitionné. Un groupe de cantonniers travaille à la réfection des routes. Des prisonniers de l’Hartmannswillerkopf sont réunis, un officier mène l’interrogatoire de quelques-uns. Puis les soldats de première ligne redescendent vers l’arrière pour prendre du repos ; à l’arrivée, toilette et lessive se font dans un abreuvoir. Un soldat pose avec sa médaille militaire. Le cuisinier de l’Hartmannswillerkopf porte un moulin à café dans son sac. Une messe est célébrée au bord de la route par un « prêtre soldat », au pied d’un calvaire (1).
Notes :
Métrage d'origine 660 m ; métrage conservé 590 m.
1+23 cartons en français (au total 1re et 2e parties). Cartons teintés en rouge.
7e Armée.
Dist. Eclipse.
Film n° 28 dans la numérotation d’origine et dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Sortie : Omnia Pathé, Paris, semaine du 21 au 27/05/1915 ; d'après le catalogue " De Pathé Frères à Pathé Cinéma, 1915, 1916, 1917, 1918 " d'Henri Bousquet.
Les images sont tournées probablement par Alfred Machin ou Emile Pierre, deux des quatre premiers opérateurs de prise de vue recrutés par la Section cinématographique de l'armée créée en avril 1915.
(1) Fin de la première partie. Voir le film référence 14.18 B 333 pour la deuxième partie.
Dans un poste d’observation de l’artillerie, un soldat téléphoniste transmet un message à un officier et d'autres préparent des rondins de bois pour construire des abris. A Herbéviller (Meurthe-et-Moselle), les servants d’une pièce de 75 mm camouflée courent se mettre en place et ouvrent le feu. Des chasseurs alpins et des artilleurs exécutent un tir avec un obusier de 220 mm surnommé « August’ ». Un moment de détente : les artilleurs jouent aux boules... Alerte ! Un aéroplane ennemi est signalé. Vite, les servants dissimulent la pièce sous des branchages et une mitrailleuse prise aux Allemands est mise en DCA. Après l’alerte, les tirs de 220 mm se poursuivent. Les tâches des poilus sont diverses : pose de barbelés, remise en état des tranchées, réparation urgente de ligne téléphonique. Un train, pris aux Allemands, s’arrête en gare de Wesserling (Haut-Rhin) ; des soldats descendent. Le train repart, emportant voyageurs et marchandises. Sous un auvent, des « cuistots » s’affairent derrière des marmites, d’autres reviennent avec des provisions dans un fourgon de déménagement réquisitionné. Un groupe de cantonniers travaille à la réfection des routes. Des prisonniers de l’Hartmannswillerkopf sont réunis, un officier mène l’interrogatoire de quelques-uns. Puis les soldats de première ligne redescendent vers l’arrière pour prendre du repos ; à l’arrivée, toilette et lessive se font dans un abreuvoir. Un soldat pose avec sa médaille militaire. Le cuisinier de l’Hartmannswillerkopf porte un moulin à café dans son sac. Une messe est célébrée au bord de la route par un « prêtre soldat », au pied d’un calvaire (1).
Notes :
Métrage d'origine 660 m ; métrage conservé 590 m.
1+23 cartons en français (au total 1re et 2e parties). Cartons teintés en rouge.
7e Armée.
Dist. Eclipse.
Film n° 28 dans la numérotation d’origine et dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Sortie : Omnia Pathé, Paris, semaine du 21 au 27/05/1915 ; d'après le catalogue " De Pathé Frères à Pathé Cinéma, 1915, 1916, 1917, 1918 " d'Henri Bousquet.
Les images sont tournées probablement par Alfred Machin ou Emile Pierre, deux des quatre premiers opérateurs de prise de vue recrutés par la Section cinématographique de l'armée créée en avril 1915.
(1) Fin de la première partie. Voir le film référence 14.18 B 333 pour la deuxième partie.
Catégories
| Première guerre mondiale |
| 1915 Combats locaux |
| Artillerie |
| Infanterie |
| SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
| Vie quotidienne militaire |
Propriétés
| Réalisateur | Eugène Alfred Jean Machin - |
|---|---|
| Genre | Film d'actualité |
| Lieu(x) | Haut-Rhin - Meurthe-et-Moselle - |
Informations
| Référence | 14.18 B 118 |
|---|---|
| Durée | 00:18:37 |
| Date de réalisation | 30/04/1915 |
| Date de début | 01/04/1915 |
| Date de fin | 30/04/1915 |
| Support d'origine | Nitrate |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Produit monté |
| Origine | SCA/SPCA Section cinématographique de l'armée |
| Domaine public | Oui |