L'équipe ECPA (Etablissement cinématographique et photographique des armées) fait de l'humour devant la caméra.

La caméra est embarquée à bord d'un Transall et filme depuis le haut de la perche de ravitaillement (vue aérienne). Un Mirage-F1 s'approche du Transall et se connecte à la perche (02:25:50). La caméra filme l'embout de la perche et le cockpit du Mirage. Un autre appareil approche. Il s'approche de la sonde mais rencontre des difficultés à se relier à la perche (02:29:55). Il finit par réussir. La caméra filme ensuite le conducteur de la perche à l'intérieur du Transall (02:33:40). Cinq soldats contrôlent l'appareil (02:64:20), les tableaux de bord et autres instruments de mesure. Les deux pilotes discutent et prennent des notes. Une fois au sol, le Transall C-160 roule sur la piste (vue depuis l'intérieur de la cabine de pilotage 02:36:19).

Courte séance d'un dromadaire, tête recouverte d'un sac, à bord d'un pick-up (02:37:05).

Le reportage reprend sur la vie quotidienne des fusiliers commandos de l'air de l'EPI (Escadron de protection et d'intervention) de la BA (base aérienne) 726 de Nîmes.
Des militaires profitent du repos pour dormir sous des tentes (02:37:35) établies dans des hangars. D'autres jouent au ping-pong ou au baby-foot (02:38:20). Ils expliquent qu'après 4 heures de repos durant lesquelles ils dorment, ils lisent ou ils jouent, ils effectuent 2 heures de garde. Ils évoquent le caractère relativement tendu de la mission par rapport à la vie en base aérienne en France.
Les tentes sous les hangars sont filmées (02:44:13).

Une mise en scène d'un militaire en train d'écrire à sa femme dans une pièce est filmée (02:45:15). Un soldat entre et lui dit bonjour. Le militaire en train d'écrire est ensuite interviewé sur les conditions de départ et d'arrivée du courrier. Celui-ci répond que les nouvelles sont régulièrement notamment grâce à leur situation géographique (ils sont établis à Riyad).

Sur la piste de l'aéroport, le capitaine Redon, chef de l'EPI, est interviewé. Il explique le parcours du contingent (arrivée en Arabie Saoudite le 8 octobre 1990) et évoque la bonne ambiance au sein de l'escadron, entre les soldats et les cadres, ainsi que la bonne qualité du travail fourni par ses personnels. Il raconte également comment des liens extra-professionnels avec des militaires américains se sont crées. Le capitaine Redon dispose de 53 hommes établis à Riyad dans la base américaine. Enfin, il dit avoir de bonnes nouvelles d'une partie de l'escadron déployé au Tchad.
Cassette de rushes de tournage n°59 (pour les supports, voir notice film Référence 90.9.36) - Master et Dub BetaSP