Paris. Hôpital du Grand Palais, service du docteur Laurent. Greffe interfémorale. Les 2 blessés dans leur lit commun pendant la greffe intefémorale. [légende d'origine]

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Paris. Hôpital du Grand Palais, service du docteur Laurent. Greffe interfémorale. Les 2 blessés dans leur lit commun pendant la greffe intefémorale. [légende d'origine]

Photographe(s) : Valentin Isidore Lucien Jean Paul Aubert

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Catégories

Première guerre mondiale

Service de santé des armées (SSA)

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Structure médicale fixe française 1re guerre mondiale

Femme

Mots clés

Blessé Chirurgien Femme Greffe Infirmière Médecin militaire

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	13x18
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 41 Z 2167
Date de début	17/06/1916
Date de fin	28/06/1916
Photographe(s)	Valentin Isidore Lucien Jean Paul Aubert -
Lieu(x)	Grand Palais - Paris - Paris-Ile-de-France -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Isidore Aubert/ECPAD/Défense
Domaine public	Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Greffe interfémorale dans le service du docteur Laurent, à l'hôpital du Grand-Palais. Les restaurants pour réfugiés. Le dispensaire Léon Bourgeois rue Vanneau à Paris.

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Description du reportage

A l'hôpital du Grand-Palais, le docteur Laurent a réalisé le 15 juin une greffe interfémorale entre un soldat amputé, nommé Tillette, et un autre, Henri Rougelot, souffrant d'un raccourcissement du fémur suite à une pseudoarthrose. L'opération a permis un gain de 9 à 10 cm des membres atteints. Le chirurgien a également greffé le médius d'un amputé sur l'humérus raccourci d'un autre patient qui souffrait aussi de pseudoarthrose. L'opérateur réalise quatre clichés des opérés dans leur lit.
L'alimentation des réfugiés qui ont dû quitter les régions envahies par l'ennemi est assuré dans des restaurants à prix réduits tels que "La Familiale" ou "l'Etoile Bleue". Un autre établissement à prix réduits est destiné aux artistes et aux étudiants.
Rue Vanneau, le dispensaire Léon Bourgeois accueille des malades ; il dispose d'un laboratoire, d'une salle de radiographie, de salles de repos et d'un jardin.