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Paris, travaux de protection au magasin du Louvre, les soupiraux bouchés avec des sacs de terre. [légende d'origine]
Depuis le 23 mars 1918, Paris connaît une série de bombardements par canons à longue portée. Les boutiques et les bâtiments publics sont protégés à l'aide de sacs de sable, comblant les soupiraux des caves éviter tout risque de projection de débris dans les caves utilisées comme abri.
Catégories
| 1918 Bombardements à Paris |
| Sécurité des personnes et des biens |
| SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
| Ville |
| Population civile et vie civile |
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 9x12 |
| Support d'origine | Plaque de verre |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | portrait |
Propriétés
| Référence | SPA 270 M 4997 |
|---|---|
| Date de début | 28/03/1918 |
| Date de fin | 28/03/1918 |
| Photographe(s) | Albert Moreau - |
| Lieu(x) | Paris - Paris-Ile-de-France - |
| Origine | SPA/SPCA |
| Mention obligatoire | © Albert Moreau/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Travaux de protection aux magasins du Louvre.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Après les bombardements au canon sur Paris du 23 et 24 mars, les Parisiens édifient des protections contre les projectiles et les débris causées par les explosions. Aux magasins du Louvre, ainsi plusieurs murs de sacs de sable sont construits pour boucher les soupiraux des caves. En effet, il s'agit d'écarter les risques de voir des débris, tels que le verre des vitrines, s'engouffrer dans les caves utilisées comme abri anti-aérien.