
VIDÉO
Patrouille sans espoir.
Film de fiction mettant en scène la vie d'un lieutenant des Troupes de Marine et son détachement pendant la guerre d'Indochine.
Claude Bernard-Aubert réalise en 1956 le film "Patrouille sans espoir". Pour obtenir le visa d'exploitation, le titre et le montage sont modifiés. Sous le titre "Patrouille de choc" (Référence FT 1683), un film est alors projeté avec un final différent dénaturant ainsi le projet initial.
Cette référence rétablit le montage et la bande son original conçu par le réalisateur dans lequel :
Le lieutenant Perrin tient un poste isolé en Indochine. Avec de faibles moyens, il parvient à pacifier la région, obtient le ralliement de plusieurs villages, ouvre une école, un dispensaire et construit un pont facilitant la vie des indigènes. Il forme un commando composé d'habitants du village, qu'instruit la sergent Magnan. Mais une attaque vietminh anéantit ce groupe. Au marché, en civils, les Vietminh intriguent auprès de la population, puis ils tuent le notable, chef du village. Enfin, ils attaquent le poste de nuit . Après un dur combat une fin suggestive sous-entend le sacrifice des cinq derniers membres du détachement. Le film se termine sur le carton : "Que demain l'on se souvienne de ces pierres de peines et de sang, pour que l'inutile nous soit épargné".
Claude Bernard-Aubert réalise en 1956 le film "Patrouille sans espoir". Pour obtenir le visa d'exploitation, le titre et le montage sont modifiés. Sous le titre "Patrouille de choc" (Référence FT 1683), un film est alors projeté avec un final différent dénaturant ainsi le projet initial.
Cette référence rétablit le montage et la bande son original conçu par le réalisateur dans lequel :
Le lieutenant Perrin tient un poste isolé en Indochine. Avec de faibles moyens, il parvient à pacifier la région, obtient le ralliement de plusieurs villages, ouvre une école, un dispensaire et construit un pont facilitant la vie des indigènes. Il forme un commando composé d'habitants du village, qu'instruit la sergent Magnan. Mais une attaque vietminh anéantit ce groupe. Au marché, en civils, les Vietminh intriguent auprès de la population, puis ils tuent le notable, chef du village. Enfin, ils attaquent le poste de nuit . Après un dur combat une fin suggestive sous-entend le sacrifice des cinq derniers membres du détachement. Le film se termine sur le carton : "Que demain l'on se souvienne de ces pierres de peines et de sang, pour que l'inutile nous soit épargné".
Catégories
| Guerre d'Indochine (1945-1956) |
| ECPAD [Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la défense] (2001-aujourd'hui) |
Propriétés
| Réalisateur | Claude Bernard-Aubert - |
|---|---|
| Lieu(x) | Indochine française - |
Informations
| Référence | R 2130275 V |
|---|---|
| Durée | 01:27:54 |
| Date de réalisation | 24/12/2014 |
| Procédé original | Numérique |
| Support d'origine | PFD |
| Format d'origine | MXF |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Produit monté |