Peu après la fin des combats, les troupes allemandes s'installent aux Pays-Bas. Le pays est encore paralysé par les destructions, le ponts de chemin de fer et routiers sont détruits. Un pont métallique demeure intact, le reporter profite de cette aubaine pour le traverser en véhicule.
Le long d'une route, des artilleurs de la Luftwaffe ont mis en batterie un canon de 2 cm Flak 30 et profitent du temps libre pour écrire à leur famille ou pour nettoyer leur tenue.
On remarquera que la position d'artillerie antiaérienne est sommairement ou récemment disposée. En effet, la protection du canon et de ses servants est assurée par des sacs de sable vides, à peine déchargés d'un camion.
L'atmosphère est détendue et les artilleurs écoutent des disques.
Les reporters continuent leur route pour immortaliser les destructions causées par les derniers combats (ponts, routes, maisons). Le reporter et chauffeur Otto Woike examine un masque à gaz et casque hollandais (DAT 100 L14).
Un groupe de soldats néerlandais patientent assis devant une maison avant de reprendre le chemin vers la captivité.
Un soldat allemand observe des effets militaires néerlandais abandonnés parmi lesquels on reconnaît un masque à gaz et un casque d'infanterie.
DAT 100 L20 : le véhicule des reporters appartenant à une des deux compagnies de propagande de l'Organisation Todt. La voiture décapotable porte encore l'immatriculation civile : III 92562, Le "III" correspond au secteur de Leipzig.