Description non finalisée (document en cours de traitement et d’analyse).
Film d'origine américaine (US Army).
Pas de droits d'exploitation, en consultation uniquement.

Des aviateurs de la 8e armée de l'air américaine (8th USAAF, American air force), en tant que force aérienne stratégique alliée, préparent une opération de bombardement sur l'Allemagne depuis une base en Grande-Bretagne.

Dans un hangar de la base, des mécaniciens préparent les appareils des groupes de bombardement de la 8e Air force, des bombardiers Boeing B-17 Flying Fortress. Les uns chargent les bombes et mettent en place les balles de calibre 50 pour les mitrailleuses Browning M2 (12,7mm), les autres assemblent les moteurs, de marque Pratt & Whitney.
Une cérémonie de lever des couleurs américaines rassemble des éléments de la force aérienne américaine.
A proximité, un aérodrome est en cours d'aménagement : des bulldozers et autres engins de travaux sont en activité. Un bombardier B-17 endommagé y est réparé ; un autre baptisé " Stella ", est au roulage puis décolle.
Sur le même (ou un autre ?) aérodrome, des avions des groupes de chasse de la 8e Air force, Republic P-47 Thunderbolt, Lockheed P-38 Lighting et North American P-51 Mustang, sont au roulage, décollent et volent en formation, pour escorter les bombardiers. Une escadrille de P-51 en escorte lâche ses réservoirs de carburant supplémentaires puis rompt la formation afin de protéger les bombardiers des chasseurs ennemis. Suivent des plans épars voulant représenter une bataille aérienne.
Dans son bureau, le général James H. Doolittle, commandant la 8e US Air force, donne ses ordres à un officier. Dans la salle d'à côté, plusieurs officiers d'état-major de la 8e US Air force, étudient des opérations de bombardement sur les pays alliés occupés et l'Allemagne, à l'aide d'une grande carte murale de l'Europe. Des pilotes écoutent ensuite un briefing. A l'issue, de nuit, des mécaniciens préparent les B-17 et placent notamment des bombes incendiaires sous les ailes.

La date est supposée : entre janvier 1944 et mai 1945.
Pas de cartons ni de claps.