Un groupe commando formé de volontaires réussit une mission délicate, au profit de son régiment.

Note : Film en format Scope.
Avec le concours de Michel Feyder, Alain Serre, Jacques Tomasini, Richard Combes.
Effets photographiques spéciaux : Jean Pierre Lavalou (erreur dans le générique de fin : Lavalou se prénomme en fait Jean-Marie).
Conseiller technique : colonel Armand.
Scripte : Christine Parat.
Assistant réalisateur : Olivier Schoen.
Participation : l'Etat-Major de l'armée de Terre, 24e RIMa (Régiment d'infanterie de Marine), 7e RG (Régiment du génie), CNEC (Centre national d'entraînement commando).

Certaines séquences de ce film sont filmées avec une caméra placée sur une Louma, bras articulé permet de placer et de déplacer la caméra dans tous les points de l'espace sans l'aide d'un dispositif hydraulique ou pneumatique et sans effort ni à-coup de la part du caméraman. (Citation de Alain Masseron, co-inventeur avec Jean-Marie Lavalou de la Louma (lavaLOU et MAsseron), in "La technique cinématographique" n°345, décembre 1972). Reportages photos correspondants à ce tournage : F 77 099, F 77 100 et F 77 109.

Film tourné dans la région de Périllos avec la participation des hommes du 24e RIMA intitulé provisoirement "l'Effort" et qui deviendra définitivement "Quand le jour viendra grâce à l'effort de quelques-uns", retrace la nuit d'un commando d'une dizaine d'hommes dont le coup de main permettra au petit matin, l'avance du régiment engagé contre un ennemi fortement engagé dans les ruines de Périllos. Les effets pyrotechniques dus au 7e régiment du Génie, sont particulièrement bienvenus. Le colonel Armand, ancien chef du Centre national d'entraînement commando à Mont-Louis, en fut le conseiller technique, et ce film a obtenu le deuxième prix au festival militaire international de juillet dernier, avec un "soleil d'argent". (Source : article non sourcé)