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Réduit d'Avocourt (Meuse), engin lance torpille dans une tranchée. [légende d'origine]

Photographe(s) : Pierre, Alphonse Pansier


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Réduit d'Avocourt (Meuse), engin lance torpille dans une tranchée. Situé à l'extrémité ouest du champ de bataille de Verdun, le réduit l'Avocourt est le théâtre de combats acharnés entre le 20 et le 29 mars 1916. Dans un poste de tir, un artilleur de tranchée s'apprête à mettre en œuvre un mortier de tranchée de 58 mm type n°2.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 9x12
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation hauteur

Propriétés

Référence SPA 9 N 239
Date de début 23/07/1916
Date de fin 23/07/1916
Photographe(s) Pierre, Alphonse Pansier -
Lieu(x) Avocourt - Meuse -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Pierre Pansier/ECPAD/Défense
Domaine public Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Secteur ouest de Verdun, en région de la forêt de Hesse, juillet 1916.

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Description du reportage

Sur la rive gauche de la Meuse, les troupes françaises commandées par le général Nivelle, chef de la 2e armée, tiennent le secteur de la forêt de Hesse, d'Esnes et du Mort-Homme où d'importants combats se déroulent. Le reportage présente les scènes suivantes :

- Sur la route de Verdun (N 231 à N 233), des tirailleurs sénégalais marchent en direction du front, et font une halte.
- À Vadelaincourt (N 234 à N 235), un cimetière militaire regroupe des tombes françaises.
- À Avocourt (N 237 à N 241), des soldats se reposent dans les tranchées de soutien. Un crapouillot est mis en batterie et ouvre le feu sur les lignes allemandes. Un guetteur observe les lignes ennemies.
- À Vavincourt (N 243 à N 246, et N 252 à N 253), une section d'ambulances américaines se repose. Les volontaires de l'AAFS (American Ambulance Field Service) réparent leurs automobiles.
- À Verdun (N 247 à N 249), une barricade estdressée rue des Hauts-Degrés. Des troupes traversent la ville en ruine.
- À La Falouse (N 254 à N 257), les carrières servent d'abris et de cantonnements aux soldats.
- À la Neuville-au-Pont (N 259), des douaniers s'abritent dans un coin de l'église.
- À Vienne-la-Ville (Argonne, N 260 et N 261), le village et la corvée d'eau.
- À Vienne-le-Château (Argonne, N 262 à N 263), des soldats lavent leur linge et s'épouillent, cherchant leurs parasites.
- À La Harazée (Forêt d'Argonne, N 264 à N 269), une cuisine et des magasins de l'ordinaire servent de lieu de repas aux soldats.
- À Souilly (N 270 à N 273), au quartier général du général Nivelle, le général Joffre en visite félicite deux aviateurs, de retour de mission au dessus de Verdun. Ils ont abattus un avion allemand Albatros.
- À Esnes (N 274 à N 288), dans le village en ruine, des brancardiers des 204e et 246e régiments d'infanterie se reposent au poste de secours aménagé dans les ruines du château. Un magasin du Génie a été détruit. Un soldat enlève ses poux (N 282)
- La vue sur le Mort-Homme depuis la route d'Esnes à Montzéville (N 289 à N 291).
- Dans Montzéville (N 292 à N 295), les ruines du village sont occupées par des soldats.
- À Fleury-sur-Aire (N 296), vue panoramique de la gare.
- Près de Verdun, au lieu dit " Cabaret ", des soldats font boire leurs chevaux (N 297).
- La côte de Saint-Michel (N 298 à N 300) où un bombardement se déroule sur le fort.
- Au Fort de Souville (N 302 à N 307), l'entrée d'une gaine, du poste de garde, d'une ancienne casemate où les artilleurs se reposent.
- La caserne Marceau en ruine (N 308).

Photos du reportage(70)