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Région du Mont sans Nom (Marne). Tranchée allemande occupée par nos "crapouilloteurs" (25-4-17). [légende d'origine]

Photographe(s) : Pierre, Alphonse Pansier


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Serveurs de mortiers de tranchée français dans une position allemande conquise pendant la bataille des monts de Champagne.

Note : un compte rendu de tournage (n° 161, de Fernand Baye) correspond à cette scène mais le film n’est pas actuellement retrouvé.

Informations techniques

Procédé original Négatif, Stéréoscopique
Format d'origine 6x13
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation largeur

Propriétés

Référence SPA 38 N 1249
Date de début 25/04/1917
Date de fin 25/04/1917
Photographe(s) Pierre, Alphonse Pansier -
Lieu(x) Marne - Mont sans Nom -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Pierre Pansier/ECPAD/Défense
Domaine public Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Le Mont sans Nom et Aubérive au lendemain de l'offensive du 17 avril 1917 sur les monts de Champagne.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

Le 17 avril 1917, pour soutenir l'offensive qui se déroule sur le Chemin des Dames, les forces du général Pétain attaquent les positions allemandes situées à l'est de Reims, le long des monts de Champagne. Après une préparation d'artillerie lourde, les troupes montent à l'assaut des positions allemandes fortement retranchées sur les monts. Le 20 avril, après de rudes combats, le Mont sans Nom est finalement pris malgré de lourdes pertes.

Sur le Mont sans Nom, les emplacements des abris allemands et des casemates demeurent abandonnés. Débris et cadavres jonchent le sol. Sur la position de Hackbourg, de nombreux Allemands ont été tués. Un mitrailleur allemand reste dans son trou de combat. Dans les sapes allemandes, matériels et tambour avertisseur de gaz restent sur place. Les positions des sorcières "Hexen-Weg", du Grand Bois, et les tranchée de Dresde et d’Andrinople sont photographiées. Le colonel Lagarde, chef de corps du 8e régiment de marche de zouaves pose avec ses officiers. Des canons de 77 mm et de 105 mm font également partis du butin. Les Français réutilisent certaines de ces anciennes fortifications et les réaménagent, en construisant de nouvelles voies d’accès. De nouvelles tranchées sont creusées à l’aide d’excavatrices sous filet de camouflage.

Note : Quatre comptes rendus de tournage correspondent aux scènes de ce reportage (n° 160 de Marcel Martel, 161, 162 et 165 de Fernand Baye).Voir le film 14.18 A 192 (tranchées reprises aux Allemands). Quelques séquences sont également visibles sur les films 14.18 B 604 et B 698.

Photos du reportage(84)