Reims, salle archiépiscopal, appartements royaux. [légende d'origine]

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Reims, salle archiépiscopal, appartements royaux. [légende d'origine]

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En janvier 1916, la ville de Reims est toujours soumise aux bombardements de l'artillerie allemande installée au nord de la ville. Une dizaine de milliers d'habitants demeurent dans leur maison, habitant dans les caves ou les maisons de champagne. Depuis le 6 avril 1917, plus de 20.000 obus sont tombés sur la ville, détruisant de nombreux quartiers. Le 10 avril, les derniers habitants sont évacués.

Catégories

Front occidental

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Ville

Édifice religieux

Mots clés

Cathédrale Monument historique Ruine Vue intérieure

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	13x18
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	portrait

Propriétés

Référence	SPA 4 V 227
Date de début	03/01/1916
Date de fin	03/01/1916
Photographe(s)	Henri Bilowski -
Lieu(x)	Marne - Reims -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Henri Bilowski/ECPAD/Défense
Domaine public	Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Rues et monuments de Reims, janvier 1916.

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Description du reportage

Dans la ville en ruines de Reims (Marne, 03/01/1916 de V 213 à V 238 et de V 242 à V 253), la population de Reims continue de vivre malgré les risques de bombardements. Peuplée de civils et de militaires, la ville de Reims est en grande partie détruite. La majeure partie des habitations ont été détruites. Près de la cathédrale, le palais de Tau a été également détruit.

A l'entrée de la ville, des femmes sont contrôlées par une sentinelle, qui procède à l'examen de leurs laissez-passer (V 213).

L'entrée d'un boyau débute à la Ferme de la Jouissance, située à l'est de Reims, près du fort de la Pompelle. Près du pont d'Huon, des barricades protègent l'accès de la ville (V 242).