reportage
Renaissance de l'industrie du charbon en Sarre (Sarrebruck, Reden et Neukirchen).
Légendes d'origine du reportage en attente de travail documentaire complémentaire - Les éléments sont donnés à titre d'information sous réserve de vérification.
Depuis le remplacement des troupes américaines par les troupes françaises, le gouvernement militaire à lui seul et sans grands moyens, fait renaître les mines et usines de la Sarre. Avec l'aide de quelques techniciens spécialistes des questions sarroises, jusqu'en 1527 "mission française des mines de la Sarre". La production, tombée à zéro en avril, dépasse 13550 tonnes par jour ; elle était d'environ 50000 tonnes avant guerre, y travaillent actuellement 5470 prisonniers de guerre allemands, dont le rendement est très faible.
Problème du transport : à Sarrebruck, port détruit, 14 ponts sautés, 174 péniches coulées auxquels travaillent le génie français, notamment le 86e régiment de la 1re division d'infanterie motorisée, division formée de gars du nord.
L48 à L60 : vues des chantiers détruits sur la Sarre - le Génie de la 1re division d'infanterie motorisée travaillant sur un pont détruit.
L61 à L64 : péniches coulées sur la Sarre.
- le Génie renfloue des péniches.
- gros plans de sapeurs pompiers au travail.
- péniches et remorqueurs coulés.
- port de Sarrebruck.
L65 à L68 : prise d'armes à Neukirchen, sous une pluie battante le général Caille inaugure un pont.
- gros plans - lever des couleurs.
L69 à L71 : mission française des mines de la Sarre. Mine de Koenig, wagons chargés de charbon prêts à être dirigés vers la France.
- vues diverses de la mine de Koenig (Neukirchen).
L77 à L79 : départ d'un train chargé pour la France.
- prisonniers de guerre allemands travaillant à Koenig.
L44 à L45 : l'unique pont de Sarrebruck (statue du vieux Koufer).
- mine de Reden - installations industrielles de la cokerie de Reden.
- chargement du gâteau de coke incandescent.
- vues diverses des installations - tuyauterie du gaz.
- machines - fabrication du benzol (7 tonnes par jour).
L14 et L 82 : caméramans SCA.
L15 : l'ingénieur français directeur M. Bouillot donne ses instructions à un ingénieur allemand.
- vues générales de l'usine prises d'en haut.
- mine de Reden - vue générale.
- mineurs s'apprêtant à descendre dans la mine.
- divers gros plans de mineurs remontant de la mine. Sont pour la plupart des prisonniers de guerre allemands.
- gros plans de prisonniers de guerre remontant des puits, en uniforme de la Wehrmacht et chargeant du charbon pour la France.
- au "village cinéma".
L31 à L43 : inauguration de la "Raphael Strasse" par le capitaine Godalt.
L35 : Capitaine Godat.
L39 : panneau SCA.
Manque négatifs L53, L63.
Depuis le remplacement des troupes américaines par les troupes françaises, le gouvernement militaire à lui seul et sans grands moyens, fait renaître les mines et usines de la Sarre. Avec l'aide de quelques techniciens spécialistes des questions sarroises, jusqu'en 1527 "mission française des mines de la Sarre". La production, tombée à zéro en avril, dépasse 13550 tonnes par jour ; elle était d'environ 50000 tonnes avant guerre, y travaillent actuellement 5470 prisonniers de guerre allemands, dont le rendement est très faible.
Problème du transport : à Sarrebruck, port détruit, 14 ponts sautés, 174 péniches coulées auxquels travaillent le génie français, notamment le 86e régiment de la 1re division d'infanterie motorisée, division formée de gars du nord.
L48 à L60 : vues des chantiers détruits sur la Sarre - le Génie de la 1re division d'infanterie motorisée travaillant sur un pont détruit.
L61 à L64 : péniches coulées sur la Sarre.
- le Génie renfloue des péniches.
- gros plans de sapeurs pompiers au travail.
- péniches et remorqueurs coulés.
- port de Sarrebruck.
L65 à L68 : prise d'armes à Neukirchen, sous une pluie battante le général Caille inaugure un pont.
- gros plans - lever des couleurs.
L69 à L71 : mission française des mines de la Sarre. Mine de Koenig, wagons chargés de charbon prêts à être dirigés vers la France.
- vues diverses de la mine de Koenig (Neukirchen).
L77 à L79 : départ d'un train chargé pour la France.
- prisonniers de guerre allemands travaillant à Koenig.
L44 à L45 : l'unique pont de Sarrebruck (statue du vieux Koufer).
- mine de Reden - installations industrielles de la cokerie de Reden.
- chargement du gâteau de coke incandescent.
- vues diverses des installations - tuyauterie du gaz.
- machines - fabrication du benzol (7 tonnes par jour).
L14 et L 82 : caméramans SCA.
L15 : l'ingénieur français directeur M. Bouillot donne ses instructions à un ingénieur allemand.
- vues générales de l'usine prises d'en haut.
- mine de Reden - vue générale.
- mineurs s'apprêtant à descendre dans la mine.
- divers gros plans de mineurs remontant de la mine. Sont pour la plupart des prisonniers de guerre allemands.
- gros plans de prisonniers de guerre remontant des puits, en uniforme de la Wehrmacht et chargeant du charbon pour la France.
- au "village cinéma".
L31 à L43 : inauguration de la "Raphael Strasse" par le capitaine Godalt.
L35 : Capitaine Godat.
L39 : panneau SCA.
Manque négatifs L53, L63.
Informations techniques
| Nombre de clichés | 75 |
|---|
Propriétés
| Référence | TERRE 10803 |
|---|---|
| Date de début | 21/08/1945 |
| Date de fin | 21/08/1945 |
| Date de prise de vue | 21/08/1945 |
| Photographe(s) | Jean-Louis Castelli - |
| Date | 21/08/1945 |
| Lieu(x) | Allemagne - Sarre - Sarrebruck - |