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Repos d'un soldat de la compagnie saharienne portée de l'oued R'Hir.

Photographe(s) : Raymond Varoqui



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Derrière un véhicule chargé de matériel, un soldat de la compagnie saharienne portée de l'oued R'Hir se repose sur un lit de camp.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 6x6
Support d'origine Acétate
Couleur Noir et blanc
Orientation hauteur

Propriétés

Référence ALG 56-115 R51
Date de début 04/06/1956
Date de fin 07/06/1956
Photographe(s) Raymond Varoqui -
Lieu(x) Algérie - Département des Oasis - Touggourt -
Origine SCA/Algérie (service cinématographique des armées en Algérie)
Mention obligatoire © Raymond Varoqui/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

La compagnie saharienne portée de l'oued R'hir aux confins algéro-tunisiens.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

La mission essentielle de la compagnie saharienne de l'oued R'Hir, nom de sa localisation géographique, consiste à empêcher le trafic d'armes en provenance de la Libye passant par la Tunisie, à destination des "bandes rebelles d'Algérie" [1]. La compagnie portée part de Touggourt, département des Oasis pour une mission dans le désert, avec les blindés AM-M8 portant le nom des régions françaises, les Dodges 4X4 et 6X6. Lors d'un passage dans une palmeraie, un tronçon de route a cédé et le blindé "Bourgogne" s'est renversé dans un fossé.
Le convoi continue sa patrouille dans l'immensité saharienne et passe l'oued R'Hir au soleil couchant. La compagnie installe son bivouac et les blindés sont disposés en carré pour la protéger. Le lendemain, la patrouille reprend sa route et se met en alerte. La compagnie se poste, s'allonge sur le sable et se met en position de tir. Armée d'un pistolet mitrailleur 24/29, de MAS 36 et de MAT 49, elle avance en profitant des difficultés du terrain formées par les dunes. La compagnie s'approche ainsi de son objectif en s'abritant derrière les murs de sable.
Au cours de sa progression, elle fait une halte sur une piste chamelière sur laquelle se trouve un puits, et remplit de grosses gourdes en peau de chèvre nommées guerbah pour se ravitailler en eau.
Notes : voir le film positif acétate ACT 5423-03.
Correspond au film ACT 5423 de Jacques Manlay

[1] Termes mentionnés dans la légende d'origine.

Les dates du 4 juin 1956 et du 7 juin 1956 sont approximatives par défaut car les légendes du reportage photographique et celle du compte-rendu de l'opérateur ne mentionnent pas de dates.

Photos du reportage(71)