Rétablissement de la piste entre Raung Veng et Pong Tuk.

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Rétablissement de la piste entre Raung Veng et Pong Tuk.

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Convoi de militaires arrêté sur la piste et surveillance des alentours. La piste qui joint Raung Veng à Pong Tuk au pied du massif boisé du Phnom Vor est dangereuse et accidentée. Son rétablissement a causé plusieurs mois d'efforts aux unités cambodgiennes et françaises du 5e BCC (5e bataillon de chasseurs cambodgiens) et 2/6e RIC (2e bataillon du 6e régiment d'infanterie coloniale).

Catégories

De Salan à Navarre (1952-1954)

Troupes coloniales / Troupes de marine

Armée Cambodge

Blindé de combat et de reconnaissance

SCA-SPI en Indochine (1945-1956)

Convois

Mots clés

6e RIC Jeep (France) Nuage Observation Piste Plantation Surveillance Véhicule léger France post 45 Végétation 5e BCC

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x6
Support d'origine	Nitrate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	CA 53-52 R11
Date de début	15/10/1953
Date de fin	16/10/1953
Photographe(s)	Raymond Varoqui -
Lieu(x)	Cambodge - Indochine française - Province de Kampot -
Origine	SPI (service presse information)
Mention obligatoire	© Raymond Varoqui/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Les poivrières dans la région de Kampot.

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Description du reportage

Les poivrières dans la région de Kampot . Ces plantations sont entourées de petits postes militaires, destinés à assurer la sécurité du territoire, avec notamment des unités du 5e bataillon de chasseurs cambodgiens (5e BCC) et du 2e bataillon du 6e régiment d'infanterie coloniale (2/6e RIC).

Contexte (légende d'origine) :
Dans le secteur de Kampot, le poivre, cultivé depuis 1884, a atteint une production de 835.479 tonnes pour 140.120 hectares cultivés en 1952. Cette production est appelée à s'accroître grâce à l'action de l'armée qui protège les plantations et empêche le viêt-minh de percevoir les fortes taxes qu'il prélève sur les planteurs. Sur l'axe routier Kampot - Kompong Trach, de petits postes sont établis dans les habitations des planteurs et gardés par des supplétifs, chargés de la sécurité de la plantation.