Route de Garoua à Maroua. Badiouma. Indigènes pétrissant le banko pour la construction des cases. [légende d'origine]

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Route de Garoua à Maroua. Badiouma. Indigènes pétrissant le banko pour la construction des cases. [légende d'origine]

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Des habitants de Badjuma, au nord-est de Garoua, foulent de la terre mouillée avec leurs pieds, pendant que d'autres apportent de l'eau dans des calebasses. Le matériau servira à l'édification de murs en pisé. Deux militaires français les regardent.

Catégories

Afrique noire

Chantier et construction

SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918)

Troupes coloniales / Troupes de marine

Population civile et vie civile

Mots clés

Construction Eau Homme Population indigène Travail Troupes coloniales

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	11x15
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 205 H 6349
Date de début	06/02/1918
Date de fin	06/02/1918
Photographe(s)	Frédéric Gadmer -
Lieu(x)	Afrique - Cameroun -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Frédéric Gadmer/ECPAD/Défense
Domaine public	Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Route de Garoua à Maroua, février 1918.

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Description du reportage

Sur la route de Garoua à Maroua, le convoi de la mission photographique rencontre successivement les lieux suivants :
- le 6 février 1918, le mayo Dadi, le mayo Lébri, le village de Badiouma (Badjuma),
- le 7 février, les villages de Boulaibi (Boula-Ibi), Lombel, le mayo Bulo (probablement le mayo Oulo),
- le 8 février, le village de Guider,
- le 9 février, le mayo Larba (mayo Larbak), le village de Matafal,
- le 10 février, le mayo Loué (probablement le mayo Louti),
- le 11 février le massif du Loulou, au nord du village de Dogoula (N'Doukoula),
- le 12 février, le village de Zongoya, le mayo Ferngo (peut-être un autre nom du mayo Boula), le mont Mogoudi, le mayo Tsanaga et l'arrivée à Maroua.

Le reportage comporte en outre deux clichés plus anciens, pris pendant le voyage retour de Rey-Bouba à Garoua (H 6345 et H 6346). Les plaques H 6334, H 6342 et H 6347 sont inexistantes.