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Saumur 1912 - Pont des Gastines - Un tour d'horizon pas commun par un idoine (Mesple). [légende d'origine]

Photographe(s) : Inconnu



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Le lieutenant-colonel André Mesple, affecté au 2e régiment de cuirassiers depuis le 20 janvier 1912, est assis sur le muret. Le pont de Gastines est précisément situé dans la commune d'Artannes-sur-Thouet.

Informations techniques

Procédé original Tirage
Format d'origine 9x14
Support d'origine Papier contrecollé sur carton
Couleur Monochrome
Orientation paysage

Propriétés

Référence D0140-003-001-0082
Date de début 01/01/1912
Date de fin 31/12/1912
Photographe(s) Inconnu -
Lieu(x) Maine-et-Loire - Artannes-sur-Thouet -
Personnes représentées Mesple, Henri André
Origine Mesple, Henri André
Mention obligatoire © ECPAD/fonds André Mesple/auteur inconnu

La photographie est issue du reportage suivant :

Album du général Henri André Mesple (1863-1935). Du camp de Châlons (1896) au 14 juillet 1914.

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Description du reportage

Album photographique d'André Mesple dans lequel se mêlent des tirages de sa carrière, en commençant par le camp de Châlons en 1896 jusqu'à un défilé militaire le 8 juillet 1914, et de sa famille lors de leur séjour en bord de mer ou dans leur maison de campagne.

Reçu à Saint-Cyr en 1883, André Mesple épouse la fille d'Hector Malot, Lucie, le 5 octobre 1892 à Fontenay-sous-Bois. De 1892 à 1897, il est lieutenant instructeur à Saint-Cyr, puis capitaine au 4e Cuirassiers à Cambrai de 1897 à 1899. Il entre à l'école de guerre en 1900, tout d'abord à l'état-major du général Burnez, à Melun (1901-1903), puis à celui du ministre de la guerre Messimy (1904-1906). De 1906 à 1908, il commande à Saint-Cyr le premier escadron de France, pour devenir ensuite professeur du cours de cavalerie à l'école supérieure de guerre. En 1913, il est promu colonel du 8e régiment de cuirassiers à Tours. Après la bataille d'Artois (Neuville Saint-Vast) en mai 1915, il est nommé au commandement d'une brigade de spahis. Placé à la tête de la 53e division, il la quitte en 1917 pour prendre le commandement de la 6e division de cavalerie. En mars 1919, nommé divisionnaire, il prend le commandement de la cavalerie d'Algérie qu'il quittera en 1921 pour la 8e division d'infanterie au Mans. Enfin, il est placé à la tête de la 1re division de cavalerie de Paris, l'un des commandements les plus enviés de la cavalerie française. Commandeur de la légion d'honneur, titulaire de la croix de guerre, avec trois citations à l'ordre de l'armée, et de la croix de guerre belge, il prend sa retraite en 1925, et se retire à Versailles où il décède en 1935.

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