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Secteur d'Aubérive. Vue sur les lignes allemandes prise d'un poste d'observation. [légende d'origine]

Photographe(s) : Pierre, Alphonse Pansier


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Catégories

Première guerre mondiale
SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918)
Observation
Vie au front

Mots clés

Arbre Paysage Rivière Vue subjective

Informations techniques

Procédé original Négatif, Stéréoscopique
Format d'origine 6x13
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation largeur

Propriétés

Référence SPA 23 N 941
Date de début 26/02/1917
Date de fin 26/02/1917
Photographe(s) Pierre, Alphonse Pansier -
Lieu(x) Aubérive-sur-Suippe - Marne -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Pierre Pansier/ECPAD/Défense
Domaine public Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Dans le Bois Carré, en secteur russe en Champagne, février 1917.

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Description du reportage

Dans le Bois Carré, en secteur russe en Champagne, février 1917.

Pris dans le secteur d'Auberive, au Bois Carré, le reportage propose principalement de suivre les troupes russes du général Lokhvitsky engagées sur le front de Champagne. Arrivées à Marseille en mai 1916, ces troupes sont dirigées vers la Champagne pour occuper les lignes du secteur d'Auberive, où elles repoussent de nombreuses attaques allemandes.

- A Bouy, une mission britannique et américaine assiste à une démonstration d'attaque de tranchée effectuée par une équipe de lance-flamme et de mitrailleurs. Sous le regard des délégués militaires, les participants recréent l'attaque d'une tranchée et son nettoyage au lance-flamme et à la grenade. Les transmissions sont assurées par télégraphie sans fil (TSF) via un avion d'observation.
- A Châlons-sur-Marne, le capitaine Cappard du GAC (groupe d'armées du centre) pose devant l'opérateur.
- Dans le secteur d'Auberive, les soldats russes tiennent les tranchées à hauteur du Bois Carré. Une tombe allemande se situe près des tranchées russes (SPA N 923). Les soldats acheminent les bombes à ailettes de crapouillot (mortier de tranchée) via les boyaux de communication. Les lettres sont distribuées par le vaguemestre. Les mitrailleurs guettent les lignes allemandes, tandis qu'un homme agite un mannequin habillé en russe au dessus du parapet, attendant la réaction de l'ennemi. La ligne de front est marquée par la Suippe, rivière séparant Russes et Allemands. Au bivouac, le colonel du régiment harangue ses hommes devant le drapeau.

Photos du reportage(48)

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