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Souilly (Meuse). Parc d'aviation, le Sopwith, type anglais. [légende d'origine]
Note : signification des lettres et chiffres : A = reconnaissance, B = bombardement, suivi d'un chiffre indiquant le nombre de places de l'appareil. Sur cet appareil, la place arrière a été capotée et remplacée par trois compartiments lance-bombes.
Catégories
Première guerre mondiale |
Base aérienne |
SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
Bombardier français 1re guerre mondiale |
Mots clés
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 9x12 |
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | paysage |
Propriétés
Référence | SPA 36 Y 1544 |
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Date de début | 03/07/1917 |
Date de fin | 03/07/1917 |
Photographe(s) | Ernest Eugène Baguet - |
Lieu(x) | Meuse - Souilly - |
Origine | SPA/SPCA |
Mention obligatoire | © Ernest Baguet/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Vie quotidienne dans le secteur de Verdun et lendemains de l'attaque du 17 juillet 1917.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Parcourant les postes de secours bondés de blessés, les villages en ruines (photographies du bombardement d'Esnes) et les positions d'observation et d'artillerie établies dans la forêt de Bethelainville et sur la cote 309, l'opérateur livre un panorama complet de la vie quotidienne des combattants engagés dans le secteur de Verdun.
Rythmée par les corvées de ravitaillement en eau, de vivres et de nettoyage des corps et des cantonnements, le reportage suivant témoigne des moyens logistiques mis en oeuvre pour remporter la victoire. Des parcs automobiles se constituent dans les villages proches de Verdun (Pierrefitte-sur-Aire), alors que les parcs d'aviation britanniques sont établis à Souilly. Dans la forêt des Koeurs circule un chemin de fer à voie étroite. Partout, les hommes sont réquisitionnés pour effectuer les travaux de terrassement, de fortification et d'entretien des routes (travailleurs indochinois et annamites) visant à consolider l'avance alliée dans un secteur entièrement ravagé par les bombardements (vues des forts du Troyon, Paroches, villages et calvaires détruits).
A noter la présence de clichés montrant la visite d'une délégation belge à l'hôpital des contagieux de Froidos.
Note :
Voir également les rushes réalisées par l'opérateur Blanc, à la référence suivante : 14.18 B 431.
Pour le fort des Paroches et le bois des Moines, voir les rushes de l'opérateur Blanc référencées : 14.18 A 201.
Photos du reportage(222)
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Souilly (Meuse). Parc d'aviation, départ d'un Spad
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Souilly (Meuse). Le distributeur d’essence. Le browser.
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Marcaulieu (Meuse). Un poste d'eau. Le PC Pierre.
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Marcaulieu (Meuse). Le boyau du muguet, allant au fort des Paroches.
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Fort des Paroches (Meuse). L'entrée du fort.
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Fort des Paroches (Meuse). Les fossés.
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Fort des Paroches (Meuse). Vue sur Saint-Mihiel prise de l'observatoire.
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Fort des Paroches (Meuse). Vue d'ensemble de Saint-Mihiel pris du haut du fort.
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Fort des Paroches (Meuse). Les travaux dans les fossés.
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Troyon (Meuse). Le fort. Les fossés.
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Troyon (Meuse). Le fort. Cour intérieure.
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Troyon (Meuse). Le fort. Cour intérieure.
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Troyon (Meuse). Le fort. Entrée principale.
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Troyon (Meuse). Le fort. Fossés, côté de l'entrée.
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Troyon (Meuse). Fossés du fort.
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Fort de Troyon (Meuse).
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Fort de Troyon (Meuse). Vieux canons rayés.
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Fort de Troyon (Meuse). Sous la voûte.
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Fort de Troyon (Meuse). Groupe des officiers.
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Troyon (Meuse). Une voûte du fort.