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Temps de repos pour un goumier d'un goum du 2e groupe de tabors marocains (2e GTM).
Catégories
Libération de la Corse |
SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946) |
Armée d'Afrique |
Mots clés
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 24x36 |
Support d'origine | Acétate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | portrait |
Propriétés
Référence | TERRE 98-1873A |
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Date de début | 01/10/1943 |
Date de fin | 02/10/1943 |
Photographe(s) | Inconnu - |
Lieu(x) | Haute-Corse - |
Origine | SCA |
Mention obligatoire | © Auteur inconnu/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
La libération de la Corse : progression des troupes du 1er CA vers le nord de l'île.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Le 23 septembre 1943, le général de brigade Charles Louchet, commandant l'infanterie divisionnaire de la 4e division marocaine de montagne (4e DMM) décide de passer à l'attaque dans le triangle Casta/Saint-Florent/Murato, au nord de l'île, avec des tabors du 2e groupe de tabors marocains (2e GTM) du colonel Pierre Boyer de La Tour du Moulin, le 1er régiment de tirailleurs marocains (1er RTM) du colonel Jean de Butler, des batteries d'artillerie italiennes et le bataillon de choc.
Puis la bataille des cols est engagée le 30 septembre pour s'achever le 2 octobre 1943.
C'est ainsi que la 1re compagnie du 1er RTM s'empare du col de San Stefano dans la nuit du 29 au 30 septembre. Les communes de Murato, de Saint-Florent, de Patrimonio... sont tour à tour libérées par les troupes françaises, appuyées par les Italiens et aidées par les partisans corses.
Note : la datation du reportage est comprise entre le 29 septembre et le 2 octobre 1943 ; les dates des photos sont comprises dans cette fourchette et sont indiquées sous réserves.
Photos du reportage(42)
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Un tirailleur marocain du 1er régiment de tirailleurs marocains (RTM), équipé d'un fusil-mitrailleur 24/29,est posté en position de tir dans le secteur du col de San Stefano.
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Un tirailleur marocain et un résistant corse sont postés derrière un mur de pierres dans le maquis, dans le secteur du col de San Stefano.
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Un tirailleur marocain est posté derrière un mur de pierres sèches dans le maquis, dans le secteur du col de San Stefano.
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Un civil corse se tient près du panneau indacteur de la ville de Murato.
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Un transmetteur (probablement affecté à la compagnie de transmissions 88/84) installe une ligne téléphonique aérienne dans le secteur de Murato.
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Des tirailleurs du 1er RTM (régiment de tirailleurs marocains) s'entretiennent avec des soldats italiens dans la commune de Murato.
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Des soldats italiens se trouvent dans une rue de la commune, au milieu de la population civile.
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Des soldats français et italiens se trouvent dans une rue de la commune, au milieu de la population civile.
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Des brancardiers de l'armée italienne se rassemblent dans une rue de Murato pour participer aux secours dans les zones de combat.
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Des brancardiers de l'armée italienne se rassemblent dans une rue de Murato pour participer aux secours dans les zones de combat.
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Un pont à structure métallique détruit par les Allemands sur le fleuve côtier Aliso, dans les environs de Saint-Florent.
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Un pont à structure métallique détruit par les Allemands sur le fleuve côtier Aliso, dans les environs de Saint-Florent.
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Pièce d'artillerie italienne et ses servants camouflés dans les environs de Saint-Florent.
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Pièce d'artillerie italienne et ses servants, camouflés dans les environs de Saint-Florent.
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Une maison de la commune de Saint-Florent, qui vient d'être libérée, est pavoisée avec les drapeaux français et corse.
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Le général de corps d'armée Henry Martin s'entretient avec des officiers.
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Des femmes pavoisent, avec les drapeaux français et corse, la fenêtre d'une maison de la commune de Saint-Florent qui vient d'être libérée.
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Des goumiers d'un des tabors du 2e GTM (groupe de tabors marocains) circulent dans une rue de Saint-Florent.
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Une place de la commune de Saint-Florent et son port de pêche.
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Le découpage de la côte vu depuis la commune de Saint-Florent.