Travaux de fortifications au camp retranché de Na San.

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Travaux de fortifications au camp retranché de Na San.

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Lors des travaux de fortifications du camp retranché de Na San, des militaires et des travailleurs indochinois creusent une tranchée, pour la protection des mortiers lourds de la CMLE (Compagnie des mortiers de la Légion étrangère) [1].
D'après une légende donnée dans Guerre d'Indochine, Guerre d'Algérie, n°18, janvier-février 2010, p.22.

Catégories

De Salan à Navarre (1952-1954)

Légion étrangère

Fortification de campagne française depuis 1945

Travailleurs étrangers

SCA-SPI en Indochine (1945-1956)

Mots clés

Camp retranché Coolie Creuser Fortification Montagne Régiment du Génie de la Légion Etrangère Tranchée Viêtnamien

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x6
Support d'origine	Acétate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	largeur

Propriétés

Référence	TONK 52-209 R1
Date de début	01/12/1952
Date de fin	01/12/1952
Photographe(s)	Jean Péraud -
Lieu(x)	Indochine française - Na San - Tonkin -
Origine	SPI (service presse information)
Mention obligatoire	© Jean Péraud/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Bataille de Na San.

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Description du reportage

Après une première attaque du Viêt-minh sur Na San dans la nuit du 22 au 23 novembre 1952, repoussée par les forces françaises, les deux adversaires se préparent pour l'affrontement.
Les travaux de fortification et d'aménagement du camp retranché [1] se poursuivent afin de renforcer la défense des points d'appui; des livraisons de matériel arrivent par avion DC-3 sur la piste d'atterrissage; briefing au PC (poste de commandement) avec le colonel Gilles, commandant le GOMRN (Groupement opérationnel de la moyenne rivière Noire); retour de patrouilles; vie quotidienne des soldats au camp; la centrale téléphonique avec un poste de transmission BD 72 (board dispatching); repas des journalistes (dont Mac Beth, correspondant de guerre) au mess avec le photographe du SPI (Service presse information) Jean Péraud.

Notes : une attaque se produit dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 1952. Bien bien qu'il soit daté du 1er décembre 1952, ce reportage a probablement été prise antérieurement (30 novembre?).
[1] Les travaux du camp retranché sont effectués par des militaires, des PIM (prisonniers internés militaires) et deux compagnies de génie.