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Un adjudant dispense des instructions sur les matériels aux personnels du 2e régiment d'infanterie de marine (2e RIMa) avant le départ du détachement pour la FORPRONU en ex-Yougoslavie.

Photographe(s) : Christian Fritsch


Au camp d'Auvours près du Mans, présentation à la presse civile et militaire des hommes du 2e RIMa et des matériels avant le départ des troupes pour rejoindre la FORPRONU en Bosnie-Herzégovine.

Informations techniques

Procédé original Diapositive
Format d'origine 24x36
Support d'origine Acétate
Couleur Couleur
Orientation paysage

Propriétés

Référence 07 92 076 02 22
Date de début 25/03/1992
Date de fin 25/03/1992
Photographe(s) Christian Fritsch -
Lieu(x) Camp d'Auvours - Mans (Le) - Sarthe -
Origine ECPA
Mention obligatoire © Christian Fritsch/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Préparatifs au départ pour l'ex-Yougoslavie du 2e RIMa (régiment d'infanterie de marine) et du BSL (bataillon de soutien logistique) sous mandat de la FORPRONU (Force de protection des Nations unies).

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Description du reportage

Plus de 2000 casques bleus vont partir pour l'Ex-yougoslavie, dans le cadre de la Force de Protection des Nations Unies (FORPRONU). Au total, ce sont 14000 hommes venant de 17 pays qui effectueront cette mission de maintien de la paix.
Le premier contingent de casques bleus français, en avril 1992, est fort de 2000 hommes dont 469 appelés.
Depuis le mois d'octobre 1991, le 2e RIMa était pressenti pour remplir cette mission de paix, les autres régiments de la DIMa ayant des unités outre-mer. Au total, ce sont 477 personnels de ce régiment, 30 officiers, 80 sous-officiers et 370 militaires du rang, qui ont été désignés pour appartenir au Bataillon d'infanterie français. La montée en puissance a été rapide et la préparation a dû être adaptée au type de mission très particulière que les casques bleus auront à remplir. Plus habitués à servir dans un cadre d'action différent, les marsouins du 2e RIMa ont suivi une période d'instruction spécifique. Au programme, mise en place d'un check-point, cours techniques sur les matériels des armées alliées et yougoslaves, initiation au serbo-croate, mais aussi apprentissage de quelques notions historiques sur le pays. Le bataillon logistique repose en grande partie sur le 8e RCS d'Amiens aux ordres du lieutenant-colonel Vialatte.

Photos du reportage(60)