Un officier français questionne un officier allemand capturé lors de l'attaque. [légende d'origine]

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Un officier français questionne un officier allemand capturé lors de l'attaque. [légende d'origine]

Photographe(s) : Albert Moreau

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Catégories

1915 Offensives en Champagne

Armée de terre

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Armée Allemagne 1re guerre mondiale

Prisonniers

Mots clés

Interrogatoire Officier Officier subalterne Prisonnier allemand Prisonnier de guerre Route

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	9x12
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 33 M 588
Date de début	25/09/1915
Date de fin	25/09/1915
Photographe(s)	Albert Moreau -
Lieu(x)	Champagne - Champagne-Ardenne - Marne - Souain-Perthes-les-Hurlus -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Albert Moreau/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Le 2e corps colonial français et leurs prisonniers allemands pendant l'offensive du 25 septembre 1915 en Champagne.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

Destinée à rompre le front de Champagne, alors réputé inviolable, l'attaque du 25 septembre 1915 fut conduite entre les secteurs d'Auberive et de la main de Massiges, situés au nord de la rivière Suippes. Sous la direction du général de Castelnau (Groupe d'armée Centre), les 2e (général Pétain) et 4e armées (général Langle de Cary) mènent l'assaut avec le concours des troupes du 1er et 2e corps d'armée colonial. Malgré une préparation d'artillerie importante et l'effet de surprise, les troupes françaises ne parviennent pas à rompre le front, qui se reconstitue derrière la butte de Souain et la côte de Tahure.

Réalisé en grande partie dans la région de Châlons-en-Champagne, ce reportage développe les thèmes suivants :

- l'évacuation des premiers blessés français et allemands au nord de Souain ;
- l'observation des opérations militaires par le général Blondlat, commandant du 2e CAC (Corps d'Armée Colonial), depuis les environs de Suippes ;
- les opérations d'évacuation et de rassemblement des prisonniers allemands capturés lors de l'attaque, avec le rassemblement de ces derniers dans une ferme de Saint-Etienne-au-Temple, située au nord de Sainte-Menehould ;
- l'encadrement des prisonniers allemands (officiers et soldats) dans le camp de prisonniers d'Auve, appelé Parc Joffre ;
- le stationnement du train transportant le quartier général de la 2e armée, commandée par le général Pétain ;
- le tir d'une batterie de canon de 155mm Rimailho dans la région de Massiges.