PHOTO

Un rebelle prisonnier blessé à la jambe par un des chefs de bande tué au cours du combat.

Photographe(s) : Sigismond Michalowski


Notes :
Retrait de la mention de protection par décision n°21289/ARM/ECPAD/DIR du 15 juin 2021.
Albums consultables à la médiathèque, travée C étagère 16.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 6x6
Support d'origine Acétate
Couleur Noir et blanc
Orientation portrait

Propriétés

Référence ALG 59-177 R3
Date de début 19/04/1959
Date de fin 19/04/1959
Photographe(s) Sigismond Michalowski -
Lieu(x) Algérie - Djebel Bou Hamoud - Région d'Oran -
Origine SCA/Algérie (service cinématographique des armées en Algérie)
Mention obligatoire © Sigismond Michalowski/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Opération menée par la légion du 2e REI, les marins de la DBFM, , le commando marine "Jaubert", le 1er RCh et les tirailleurs du 21e BTA dans le djebel Bou-Hamoud (Algérie).

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Description du reportage

Anéantissement de la bande rebelle encerclée dans le djebel Bou Hamoud (sud oranais dans les monts du Ksour) par la légion du 2e régiment étranger d'infanterie (REI), les marins de la DBFM (demi brigade de fusiliers marins), le commando marine "Jaubert", le 1er RCh (1er régiment de chasseurs) et les tirailleurs du 21e BTA (21e bataillon de tirailleurs algériens).
De nombreux rebelles ont été fait prisonniers dont plusieurs blessés ont été transportés à Aïn Sefra.
Leurs chefs les avaient convaincus qu'ils seraient immédiatement passés par les armes ; aussi ils n'ont fait aucune difficulté pour raconter leur odyssée. Ereintés par les marches et contre-marches à travers les djebels du Grouz une des bandes s'est mutinée. Les chefs ont dû abattre sur place les meneurs. Finalement la bande de rebelles qui a été détruite a été ramenée sur le barrage, encadrée et poussée par un commando local qui lui est retourné au Maroc. Les troupes françaises, alertées, les ont laissé passer, puis les ont encerclés dans le djebel Bou Hamoud et acculés au barrage. L'affaire a duré deux jours. Sans vivres de nombreux combattants ont tenté de se rendre ; les chefs n'ont pas hésité à tirer dans le dos de ceux qui voulaient échapper au massacre.
Trente-deux hors la loi ont été abattus et leurs armes récupérées. Cet armement, de fabrication tchèque, allemande, espagnole, comprenaient des mitrailleuses, des pistolets mitrailleurs et des fusils (fusils Mauser 98k de fabrication tchécoslovaque (Brno), des MG-34 et des MP-40).

Notes :
Les photographies cotées R1 à R11 et R14 à R23 étaient classifiées en "Diffusion Restreinte".
Retrait de la mention de protection par décision n°21289/ARM/ECPAD/DIR du 15 juin 2021.
Albums consultables à la médiathèque, travée C étagère 16.

Photos du reportage(28)