PHOTO
Un régiment de Spahis Marocain près de Suippes. [légende d'origine]
Catégories
1915 Offensives en Champagne |
SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917) |
Animaux utilisés par les armées |
Armée d'Afrique |
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 9x12 |
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | paysage |
Propriétés
Référence | SPA 35 M 680 |
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Date de début | 29/09/1915 |
Date de fin | 29/09/1915 |
Photographe(s) | Albert Moreau - |
Lieu(x) | Champagne - Champagne-Ardenne - Marne - Suippes - |
Origine | SPA/SPCA |
Mention obligatoire | © Albert Moreau/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Etat des lieux du champ de bataille du nord de Souain au lendemain de l'offensive du 25 septembre 1915 et la visite de Georges Clemenceau au quartier général du GAC (Groupe d'Armées Centre) de Châlons-en-Champagne.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Réalisé dans le secteur nord et ouest de la localité de Souain, le reportage suivant témoigne des destructions provoquées lors des combats dans les secteurs de la Cuvette de Souain et de l'ouvrage fortifié du Palatinat, établi à l'ouest du village. Les thèmes développés sont :
- Le cantonnement établi dans Saint-Hilaire-le-Grand, avec les destructions provoquées par les bombardements ;
- L'évacuation sanitaire de blessés français par les prisonniers allemands ;
- Les éléments du 2e CAC (Corps d'Armée Colonial), avec le ravitaillement des hommes de la Division Marocaine et de Spahis ;
- Le bombardement de la route et du village de Saint-Hilaire-le-Grand par l'artillerie lourde allemande ;
- L'état des lieux du champ de bataille du Moulin de Souain, situé au nord du village et entièrement ravagé par les bombardements et les mines, avec les cadavres allemands et français restés dans les tranchées ;
- L'approvisionnement d'une batterie d'artillerie de 155 mm Rimailho près de Souain ;
- L'état des lieux l'ouvrage fortifié du Palatinat, à l'ouest de Souain, avec les cadavres français et allemands restés sur le terrain et les tranchées bouleversées ;
- L'église de Souain ravagée par les obus et la vie dans les cantonnements ;
- Le cantonnement et les mouvements d'unités de Dragons dans le secteur ;
- Le déjeuner du général Blondlat, commandant du 2e CAC ;
- La visite de Georges Clemenceau, sénateur du Var, au quartier général du Groupe d'Armées du Centre à Châlons-en-Champagne ;
- L'évacuation de blessés par ambulance à Souain.
Photos du reportage(43)
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Un obus allemand éclate sur Saint-Hilaire-le-Grand.
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Entonnoir de Souain dans la Marne.
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L'entonnoir et le moulin de Souain après la bataille.
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Une position d'artillerie pour canon de type Rimailho de 155mm à l'ouest de Souain.
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Un pont dressé sur la rivière à proximité de la ferme des Wacques.
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Le champ de bataille de la cuvette de Souain, au nord et à l'ouest de Souain dans la Marne.
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Ravitaillement de Rimailho à l'ouest de Souain.
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L'entonnoir de Souain, cadavres allemands.
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Un canon de 155mm modèle Rimailho est réapprovisionné par un caisson d'artillerie.
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Entonnoir de Souain. Les tranchées allemands abandonnées et désertes.
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L'église de Souain, détruite lors des combats de septembre 1915.
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Canons allemands exposés au nord de Souain.
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Cavalerie stationnée au dessus de Souain, dans la Marne.
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Le général Blondlat commandant du 2e CAC (Corps d'Armée Colonial) déjeune au nord de Souain.
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Monsieur Clemenceau serre la main aux officiers d'état-major du général d'armée de Castelnau de Curières devant le quartier général du GAC (Groupe d'Armées Centre) de Châlons-en-Champagne.
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Le village de Souain entièrement ravagé par les combats de septembre 1915 et transformé en cantonnement.
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Une colonne de Dragons sillonne la route de Souain.
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Monsieur Clemenceau s'entretient avec les officiers d'état-major du général de Castelnau de Curières, devant le quartier général du Groupe des Armées du Centre (GAC) de Châlons-en-Champagne.
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Des brancardiers embarquent des blessés à l'intérieur d'une ambulance stationnée dans les rues de Souain.
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Georges Clemenceau s'entretient avec un officier d'état-major du Groupe des Armées du Centre commandé par le général de Calstelnau de Curières. Ces derniers sont devant l'entrée du quartier général du GAC à Châlons-en-Champagne.