Une automitrailleuse M8 (ou light armored car) et un half-track M3 sont sortis de leur caisse de transport par des équipes de montage sur le port de Casablanca.

PHOTO

Une automitrailleuse M8 (ou light armored car) et un half-track M3 sont sortis de leur caisse de transport par des équipes de montage sur le port de Casablanca.

Photographe(s) : Inconnu

Pourquoi ne puis-je pas télécharger cette image ?

Catégories

Réarmement de l'armée française en Afrique du nord

SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946)

Automitrailleuse française 2e guerre mondiale

Logistique et maintenance

Véhicule semi-chenillé français 2e guerre mondiale

Mots clés

Automitrailleuse France 39-45 Chaîne de montage Half-track M3 (France) Logistique Montage Véhicule de reconnaissance et d'appui Light armored car M8 (France) Semi-chenillé

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	24x36
Support d'origine	Acétate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	TERRE 91-1665
Date de début	06/09/1943
Date de fin	06/09/1943
Photographe(s)	Inconnu -
Lieu(x)	Afrique du Nord - Casablanca - Maroc -
Origine	SCA
Mention obligatoire	© Auteur inconnu/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Le réarmement de l'armée française : inspection du général d'armée Henri Giraud à Casablanca.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

Le plan d'aide militaire, nécessaire à la reconstitution des forces françaises, est envisagé dès octobre 1942 et se concrétise en janvier 1943, lors de la conférence d'Anfa (banlieue de Casablanca au Maroc). Aux termes des accords qui constituent ce plan d'Anfa du 24 janvier 1943, les Etats-Unis s'engagent à rééquiper et à réarmer l'armée française.
Depuis août 1943, dans le port de Casablanca qui connaît une grande activité désormais par rapport à celui d'Alger, se déroule la 2e tranche du plan de réarmement.

Le 6 septembre, le général d'armée Henri Giraud, commandant en chef civil et militaire et coprésident du CFLN (comité français de la Libération nationale), inspecte les chaînes de montage de matériel américain destiné à l'armée de Terre. Il se rend ensuite sur le cuirassé Jean Bart.