Une mise en scène sur l'espionnage qui se finit par une touche sentimentale...

Deux soldats découvrent la complicité d'un civil (Reynold Diablotin présumé rédacteur en chef) et d'un officier et d'une femme britanniques. Grâce à leur perspicacité (ils recueillent dans une maison en ruine un chiffon sur lequel ils déchiffrent quelques mots) et leur courage, ils surprennent les espions en train de comploter dans la chambre d'un café-restaurant, ils les interceptent (le civil est tué, la femme ligotée, le chauffeur poursuivi et arrêté). Les braves, qui restent modestes, sont félicités par leur commandant. Puis la vie quotidienne reprend dans les tranchées quand une explosion survient et blesse l'un des deux soldats. A l'hôpital de l'Etablissement thermal militaire où il est soigné, il est décoré par un général. Il reçoit également la visite de son camarade et de sa femme qui lui assure son amour "malgré" sa jambe amputée.

Note :
Des annotations sur le négatif nitrate indiquent l'emplacement de quatorze cartons et leur texte. Ces cartons commencent au numéro 46, ce qui laisse penser que le début du film est manquant.