reportage
Usine d'oxygène liquide à Friedrichshaffen (Lac de Constance).
Légendes d'origine du reportage en attente de travail documentaire complémentaire - Les éléments sont donnés à titre d'information sous réserve de vérification.
Cette usine est la plus grosse entreprise de fabrication d'oxygène liquide du monde. La majeure partie de ce liquide était destinée à servir aux V2.
Les tours métalliques photographiées sont des installations servant à étudier la puissance des jets, qui constituent les propulsions des V2.
Des gros plans montrent un plan incliné, fait de tubes, sur lequel est projetée la flamme qui se trouve ainsi dirigée vers le réservoir d'eau situé au pied de la bâtisse.
Dans une vue d'ensemble, on remarque un bâtiment de forme arrondie, c'est le poste d'observation des ingénieurs pendant l'opération.
En effet la déflagration est telle, que l'oreille humaine ne peut résister. D'ailleurs les essais de cette usine ont dû être suspendus, le gouvernement suisse ayant protesté contre les perturbations amenées en Suisse par cette usine. Les essais furent continués dans une usine placée sur la côte de la Baltique.
Les documents photos représentent des vues de l'usine située en plein bois à 7 km au nord de la ville et soigneusement camouflée.
Un ingénieur français, le lieutenant Michel Legrand, chargé par le ministère de la guerre de la remise en route de cette usine pour alimentation de l'industrie du froid (l'oxygène liquide étant à -180°C), fait visiter les différentes installations à deux formalistes français.
Les grosses machines à l'intérieur sont des compresseurs.
Un caméraman équipé d'une Bell & Howell (TERRE 10774-R17).
Cette usine est la plus grosse entreprise de fabrication d'oxygène liquide du monde. La majeure partie de ce liquide était destinée à servir aux V2.
Les tours métalliques photographiées sont des installations servant à étudier la puissance des jets, qui constituent les propulsions des V2.
Des gros plans montrent un plan incliné, fait de tubes, sur lequel est projetée la flamme qui se trouve ainsi dirigée vers le réservoir d'eau situé au pied de la bâtisse.
Dans une vue d'ensemble, on remarque un bâtiment de forme arrondie, c'est le poste d'observation des ingénieurs pendant l'opération.
En effet la déflagration est telle, que l'oreille humaine ne peut résister. D'ailleurs les essais de cette usine ont dû être suspendus, le gouvernement suisse ayant protesté contre les perturbations amenées en Suisse par cette usine. Les essais furent continués dans une usine placée sur la côte de la Baltique.
Les documents photos représentent des vues de l'usine située en plein bois à 7 km au nord de la ville et soigneusement camouflée.
Un ingénieur français, le lieutenant Michel Legrand, chargé par le ministère de la guerre de la remise en route de cette usine pour alimentation de l'industrie du froid (l'oxygène liquide étant à -180°C), fait visiter les différentes installations à deux formalistes français.
Les grosses machines à l'intérieur sont des compresseurs.
Un caméraman équipé d'une Bell & Howell (TERRE 10774-R17).
Informations techniques
| Nombre de clichés | 24 |
|---|
Propriétés
| Référence | TERRE 10774 |
|---|---|
| Date de début | 06/08/1945 |
| Date de fin | 06/08/1945 |
| Date de prise de vue | 06/08/1945 |
| Photographe(s) | André Gandner - |
| Date | 06/08/1945 |
| Lieu(x) | Allemagne - Bade-Würtemberg - Friedrichshafen - |