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Verdun. Ses ruines. La Princerie (rue de la Belle-Vierge), XVe siècle. Classée Monument historique. [légende d'origine]

Photographe(s) : Inconnu



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L'Hôtel de la Princerie est un hôtel particulier, demeure du "princier", plus haut dignitaire du diocèse de Verdun après l'évêque, jusqu'à la suppression de la charge en 1385. En 1525, il est restauré par les frères de Musson dans le style Renaissance. Gravement endommagé lors de la Première Guerre mondiale, l'hôtel est racheté en 1926 par la ville qui y installe le musée de la Princerie en 1932. Il est classé monument historique depuis le 3 février 1921.
Note : la page https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4tel_de_la_Princerie, qui a permis de compléter la légende d'origine de la photographie, a été consultée le 14 janvier 2020.

Informations techniques

Procédé original Tirage
Format d'origine 21,5x15,5
Support d'origine Papier
Couleur Noir et blanc
Orientation paysage

Propriétés

Référence D0350-003-001-0019
Date de début 03/02/1921
Date de fin 31/12/1929
Photographe(s) Inconnu -
Lieu(x) Verdun -
Origine Pierret, Charles
Mention obligatoire © ECPAD/fonds Charles Pierret/auteur inconnu

La photographie est issue du reportage suivant :

Fonds Charles Pierret. Album de photographies "Verdun. Champs de bataille".

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Description du reportage

L'album comprend trente-six vues de Verdun et de sa région avant, pendant et après la première guerre mondiale. En introduction, un texte, dont seules les initiales de l'auteur - C.A. - sont mentionnés, revient sur l'histoire de la sous-préfecture meusienne depuis le IXe siècle jusqu'à l'Armistice du 11 Novembre 1918. La première guerre mondiale y est évoqué ainsi : "Presque investi au mois de septembre 1914, bombardé par pièces à longue portée en 1915, Verdun fut attaqué le 21 février 1916 par l'armée du Kronprinz. C'est ainsi que commença la fameuse bataille de Verdun, qui devait durer jusqu'au mois de novembre 1916, sans donner à l'agresseur le succès éclatant sur lequel il comptait. Tout d'abord, il est vrai, l'ennemi réussit à prendre le fort de Douaumont sur la rive droite de la Meuse et les hauteurs du Mort-Homme et de la Côte 304 sur la rive gauche. Plus tard, le fort de Vaux tomba entre ses mains, après une héroïque résistance, et, le 23 juin 1916, ses troupes d'assaut atteignirent les forts de Souville et de Froideterre, à 3 kilomètres de la place. Mais ce devait être le suprême effort de l'armée du Kronprinz.".

Photos du reportage(76)