Waayenburg (Belgique). Train d'artillerie lourde (mortiers de 220) venant de Sommesous (Marne). [légende d'origine]

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Waayenburg (Belgique). Train d'artillerie lourde (mortiers de 220) venant de Sommesous (Marne). [légende d'origine]

Photographe(s) : Edmond Famechon

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Catégories

Première guerre mondiale

SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918)

Logistique et maintenance

Camion français 1re guerre mondiale

Mortier lourd français 1re guerre mondiale

Train militaire (transport de matériel) français 1re guerre mondiale

Mots clés

220 mm Artillerie lourde sur voie ferrée Camion France 14-18 Mortier d'artillerie France 14-18 Panoramique Train

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x13
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 102 R 3777
Date de début	20/10/1917
Date de fin	28/10/1917
Photographe(s)	Edmond Famechon -
Lieu(x)	Belgique - Waayenburg -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Edmond Famechon/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Etat des lieux du front du Nord et de Flandre-occidentale.

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Description du reportage

Au bord de l'Yser, à Rousbrugge, des troupes anglaises se ravitaillent en eau potable.
A Waayenburg, des trains embarquent et débarquent des munitions.
La région de Noordschote et de Die Groetchen ont été bombardées et présentent de nombreuses ruines
Le reporter a porté son attention sur les premières lignes françaises et l'organisation du terrain conquis.
Lorsque il se rend dans la région de Draeibank, il s'intéresse aux champs de bataille et montre les anciennes premières lignes françaises et allemandes avant et après l'avancée du 28 octobre 1917.
D'autres photographies prises à Dunkerque témoignent des dégâts causés par les bombardements.
Dans la région de Bixschoote se trouvent les postes de commandement du 213e, du 233e et du 273e régiment d'infanterie. Le 20 octobre 1917, le reporter photographie l'équipement et l'activité militaire des premières lignes : les abris, les fortins de mitrailleuses, l'observatoire allemand, les télégraphistes, le transport des blessés, le chemin de fer, une cuisine, un poste de secours, une tombe, l'organisation des tranchées, la batterie allemande de 77 détruite, et les ruines.
A Steenstraate, le reporter assiste à un chargement d'obus sur voie de 60.
A Stavèle, des soldats s'apprêtent à partir en permission.

Notes :
Voir film 14.18 B 712 (remplissage de camions-citernes à Rousbrugge).