PHOTO
Yaoundé. Type d'homme de race Bafia. [légende d'origine]
Portrait en pied d'un homme appartenant à l'ethnie Bafia.
Note : les Bafia, ou Bekpak, sont une ethnie Bantou habitant la rive droite du Mbam. Leur nom viendrait d'une confusion : un habitant auquel un Allemand avait demandé comment s'appelait cette région des plateaux, ne comprenant pas la question, avait répondu en donnant son nom, Bofia Nkano. Cet homme semble ici un peu loin de sa région d'origine.
Les Bafia sont une tribu forestière de l'est du Cameroun qui comprenait 15 700 individus en 1933, selon l'"Inventaire ethnique et linguistique du Cameroun sous mandat français".
Note : les Bafia, ou Bekpak, sont une ethnie Bantou habitant la rive droite du Mbam. Leur nom viendrait d'une confusion : un habitant auquel un Allemand avait demandé comment s'appelait cette région des plateaux, ne comprenant pas la question, avait répondu en donnant son nom, Bofia Nkano. Cet homme semble ici un peu loin de sa région d'origine.
Les Bafia sont une tribu forestière de l'est du Cameroun qui comprenait 15 700 individus en 1933, selon l'"Inventaire ethnique et linguistique du Cameroun sous mandat français".
Catégories
| Afrique noire |
| SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
| Populations et minorités ethniques |
Mots clés
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 11x15 |
| Support d'origine | Plaque de verre |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | portrait |
Propriétés
| Référence | SPA 177 H 5483 |
|---|---|
| Date de début | 22/09/1917 |
| Date de fin | 22/09/1917 |
| Photographe(s) | Frédéric Gadmer - |
| Lieu(x) | Afrique - Cameroun - Yaoundé - |
| Origine | SPA/SPCA |
| Mention obligatoire | © Frédéric Gadmer/ECPAD/Défense |
| Domaine public | Oui |
Description du reportage
Dans la ville de Yoko, une école française est bâtie non loin du cimetière européen. Un village de type haoussa et un village de type Babouté composent la ville de Yoko. Au village Babouté, la maison du chef de village est est surmontée de sculptures. Au village Haoussa, un forgeron actionne un soufflet.
A la factorerie, les habitants achètent des effets vestimentaires.
Le poste militaire comporte une vaste enceinte et une tour de plusieurs étages.
Le nom de la ville viendrait de "A yo, A ko", "tu te tiens , tu vois" en langue Mbum,car la localité est construite sur une hauteur. (Eldridge Mohammadou, Traditions historiques des peuples du Cameroun central: Ni-Zoo, Vouté et Kondja, volume 2, Institute for the Study of Languages and Cultures of Asia and Africa, 1990, page 94).
A la factorerie, les habitants achètent des effets vestimentaires.
Le poste militaire comporte une vaste enceinte et une tour de plusieurs étages.
Le nom de la ville viendrait de "A yo, A ko", "tu te tiens , tu vois" en langue Mbum,car la localité est construite sur une hauteur. (Eldridge Mohammadou, Traditions historiques des peuples du Cameroun central: Ni-Zoo, Vouté et Kondja, volume 2, Institute for the Study of Languages and Cultures of Asia and Africa, 1990, page 94).
Photos du reportage(13)
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Yoko. Le cimetière européen.
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Yoko. Elèves de l'école française.
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Yoko. Vue sur le village Haoussa.
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Yoko. Le village Babouté.
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Yoko. Entrée du quartier du chef au village Babouté.
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Yoko. Vue vers le poste prise du village Babouté.
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Yoko. Forgeron haoussa.
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Yoko. Coin du village Babouté.
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Yoko. Une factorerie.
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Yoko. Indigènes à la vaccination.
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Yoko. Le poste vu du nord.
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Yaoundé. Vue générale de la contrée (sud-ouest).