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Carrières-sous-Bois (Seine-et-Oise). Hôpital militaire des troupes africaines. Pavillon chinois. [légende d'origine]

Photographe(s) : Albert Samama-Chikli


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Des soldats blessés se reposent sur un balcon du pavillon suisse en compagnie d'un médecin et de deux infirmières.

Note : il semble qu'il y ait une erreur sur le registre des légendes. En effet, il s'agit bien du pavillon suisse puisque l'on retrouve l'architecture typique des chalets suisse (voir photographie SPA 32 L 1719). Par ailleurs, ce balcon ne ressemble en rien au pavillon chinois que l'on peut apercevoir à de multiples reprises dans ce reportage (de SPA 32 L 1713 à SPA 32 L 1716 et SPA 32 L 1723).

Informations techniques

Procédé original Négatif, Stéréoscopique
Format d'origine 6x13
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation largeur

Propriétés

Référence SPA 32 L 1724
Date de début 25/10/1916
Date de fin 25/10/1916
Photographe(s) Albert Samama-Chikli -
Lieu(x) Carrières-sous-Bois - Paris-Ile-de-France - Yvelines -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Albert Samama-Chikli/ECPAD/Défense
Domaine public Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

L'hôpital militaire des troupes africaines à Carrière-sous-Bois.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

L'hôpital militaire des troupes africaines de Carrières-sous-Bois (voir note) :
- dans le pavillon finlandais : le docteur Viala effectue des pansements ;
- dans le pavillon russe : la visite du médecin chef, un blessé jouant aux dames ;
- dans le pavillon chinois, le personnel de l'hôpital et les blessés (SPA 1713 à SPA 1716 et SPA 1723, SPA 1724).
- la salle d'opération ;
- le pavillon suisse donnant sur la Seine et les blessés se reposant sur la terrasse ;
- l'arrivée des blessés à l'hôpital, la descente de l'ambulance et la prise en charge par le personnel hospitalier ;
- une grotte transformée en café maure ;
- les promenades des blessés dans le parc.

Note :
La commune de Carrières-sous-Bois n'existe plus à ce jour, elle faisait partie de la Seine-et-Oise et a vraisemblablement subi un regroupement communal. Elle serait à rattacher à Carrières-sous-Poissy voire à Poissy même.
Le sanatorium de Carrières-sous-Bois qui n’était encore pas ouvert à la déclaration de guerre est rapidement réquisitionné pour faire face à l’afflux de blessés, de 1915 à 1920. Construit à partir de pavillons de l’Exposition Universelle de 1900, il accueille surtout les blessés issus de l’Armée d’Afrique.

Photos du reportage(20)