PHOTO

Carrières-sous-Bois (Seine-et-Oise). Hôpital militaire des troupes africaines. Pavillon finlandais. Docteur Viala. Pansements. [légende d'origine]

Photographe(s) : Albert Samama-Chikli


Télécharger

Pourquoi acheter cette image si je peux la télécharger gratuitement ?

Des blessés des troupes coloniales dans un dortoir d'un hôpital militaire prennent la pose avec le docteur Viala et des infirmières. L'une d'entre elles panse le bras d'un des blessés. Une affiche de propagande indique en arabe et en français "Les Nations Alliées pour le triomphe du droit et de la liberté". Cette affiche représente des soldats de plusieurs états portant leur drapeau national, notamment français, belge, et britannique.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 13x18
Support d'origine Plaque de verre
Couleur Noir et blanc
Orientation largeur

Propriétés

Référence SPA 32 L 1709
Date de début 25/10/1916
Date de fin 25/10/1916
Photographe(s) Albert Samama-Chikli -
Lieu(x) Carrières-sous-Bois - Paris-Ile-de-France - Yvelines -
Origine SPA/SPCA
Mention obligatoire © Albert Samama-Chikli/ECPAD/Défense
Domaine public Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

L'hôpital militaire des troupes africaines à Carrière-sous-Bois.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

L'hôpital militaire des troupes africaines de Carrières-sous-Bois (voir note) :
- dans le pavillon finlandais : le docteur Viala effectue des pansements ;
- dans le pavillon russe : la visite du médecin chef, un blessé jouant aux dames ;
- dans le pavillon chinois, le personnel de l'hôpital et les blessés (SPA 1713 à SPA 1716 et SPA 1723, SPA 1724).
- la salle d'opération ;
- le pavillon suisse donnant sur la Seine et les blessés se reposant sur la terrasse ;
- l'arrivée des blessés à l'hôpital, la descente de l'ambulance et la prise en charge par le personnel hospitalier ;
- une grotte transformée en café maure ;
- les promenades des blessés dans le parc.

Note :
La commune de Carrières-sous-Bois n'existe plus à ce jour, elle faisait partie de la Seine-et-Oise et a vraisemblablement subi un regroupement communal. Elle serait à rattacher à Carrières-sous-Poissy voire à Poissy même.
Le sanatorium de Carrières-sous-Bois qui n’était encore pas ouvert à la déclaration de guerre est rapidement réquisitionné pour faire face à l’afflux de blessés, de 1915 à 1920. Construit à partir de pavillons de l’Exposition Universelle de 1900, il accueille surtout les blessés issus de l’Armée d’Afrique.

Photos du reportage(20)