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[Elèves algériens dans une salle de classe près de Saïda.]
Une école a été installée dans une mechta près de Saïda pour les enfants des familles de nomades d'un camp de regroupement voisin. L'enseignement y est dispensé par un jeune appelé du contingent.
Note : dans le cadre du plan Challe dans la région de Saïda, la population vivant sur les zones d'opérations a été déplacée dans un camp de regroupement. Il s'agit souvent de familles de nomades qui sont alors sédentarisées. Des actions sociales sont organisées par l'armée afin de pallier aux conditions de vie sommaire dans ces camps (aide alimentaire, distribution de vêtements, aide médicale gratuite, éducation,...).
Note : dans le cadre du plan Challe dans la région de Saïda, la population vivant sur les zones d'opérations a été déplacée dans un camp de regroupement. Il s'agit souvent de familles de nomades qui sont alors sédentarisées. Des actions sociales sont organisées par l'armée afin de pallier aux conditions de vie sommaire dans ces camps (aide alimentaire, distribution de vêtements, aide médicale gratuite, éducation,...).
Catégories
Enseignement |
Guerre d'Algérie (1945-1962) |
Plan Challe |
Population civile et vie civile |
Actions civilo-militaires (ACM) |
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
---|---|
Format d'origine | 6X6 |
Support d'origine | Acétate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | portrait |
Propriétés
Référence | D163-132-20 |
---|---|
Date de début | 01/01/1961 |
Date de fin | 31/12/1961 |
Photographe(s) | Arthur Smet - |
Lieu(x) | Algérie - Région d'Oran - Département de Saida - |
Origine | Smet, Arthur |
Mention obligatoire | © ECPAD/fonds Smet/Arthur Smet |
La photographie est issue du reportage suivant :
Actions sociales et vie quotidienne de la population civile d'un camp de regroupement près de Saïda.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
A Saïda, un spectacle des élèves de l'école est organisé. Des femmes d'origine européenne, des militaires, ainsi que le préfet du département de Saïda, Jacques de Solminihac, assistent à la représentation de chant et de danse.
Près de Saïda, des actions d'aide et d'assistance aux populations vivant dans un camp de regroupement sont organisées par l'armée et une équipe médico-sociale itinérante (EMSI). En effet, dans le cadre du plan Challe dans la région de Saïda, la population vivant sur les zones d'opérations a été déplacée dans des camps de regroupement. Il s'agit souvent de familles de nomades qui sont alors sédentarisées. Un camp de tentes traditionnelles, appelées khaimas, est installé devant un poste militaire.
Un appelé du contingent fait la classe aux jeunes d'origine algérienne du camp dans une école installée dans une mechta. Une distribution de vêtements ainsi qu'un cours de couture sont organisée afin de porter assistance à la population.
Note : archives photographiques du sergent-chef Arthur Smet pendant la guerre d'Algérie (1953-1963). Les légendes ont été forgées à partir d'une série d'entretiens avec l'auteur des photographies en décembre 2010.
L'ordre chronologique des clichés de ce reportage est incertain.
Près de Saïda, des actions d'aide et d'assistance aux populations vivant dans un camp de regroupement sont organisées par l'armée et une équipe médico-sociale itinérante (EMSI). En effet, dans le cadre du plan Challe dans la région de Saïda, la population vivant sur les zones d'opérations a été déplacée dans des camps de regroupement. Il s'agit souvent de familles de nomades qui sont alors sédentarisées. Un camp de tentes traditionnelles, appelées khaimas, est installé devant un poste militaire.
Un appelé du contingent fait la classe aux jeunes d'origine algérienne du camp dans une école installée dans une mechta. Une distribution de vêtements ainsi qu'un cours de couture sont organisée afin de porter assistance à la population.
Note : archives photographiques du sergent-chef Arthur Smet pendant la guerre d'Algérie (1953-1963). Les légendes ont été forgées à partir d'une série d'entretiens avec l'auteur des photographies en décembre 2010.
L'ordre chronologique des clichés de ce reportage est incertain.