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Le général de division Jules Decamp s'entretient avec le lieutenant-colonel Turcy à l'arrivée des prisonniers de guerre rapatriés.
Le général de division Jules Decamp, adjoint au général commandant la 15e division militaire (DM) de Marseille, s'entretient avec le lieutenant-colonel Turcy, commandant le 7e régiment de spahis algériens (RSA) à l'arrivée de prisonniers de guerre rapatriés à la gare Saint-Charles.
Catégories
Occupation allemande en France |
SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946) |
Transport ferroviaire |
Armée d'Afrique |
Personnalités militaires |
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
---|---|
Format d'origine | 24x36 |
Support d'origine | Nitrate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | portrait |
Propriétés
Référence | VICHY 6-70 |
---|---|
Date de début | 24/01/1941 |
Date de fin | 24/01/1941 |
Photographe(s) | Marcel Viard - |
Lieu(x) | Bouches-du-Rhône - France - Marseille - Provence-Alpes-Côte d'Azur - |
Personnes représentées | Decamp, Jules - Turcy |
Origine | SCA |
Mention obligatoire | © Marcel Viard/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Rapatriement de prisonniers de guerre français en provenance d'Allemagne.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
L'armée allemande fait environ 1 830 000 prisonniers français lors de la bataille de France en mai-juin 1940.
Elle en libère environ 200 000 dans les semaines qui suivent. Au début de l’année 1941, des accords passés entre l’Etat français et les autorités d’occupation permettent la libération d’une partie des prisonniers de guerre français en Allemagne.
Il s’agit des pères de famille de quatre enfants mineurs, des frères aînés de quatre enfants, de certaines catégories de fonctionnaires, d’agriculteurs et d’artisans nécessaires au redémarrage de l’économie nationale.
Ces hommes sont placés en "congé de captivité" et gardent le statut de prisonniers de guerre ; à ce titre, ils doivent régulièrement se faire enregistrer auprès de la Kommandantur la plus proche de leur domicile.
Le 24 janvier 1941, le général de division Jules Decamp, adjoint au général commandant la 15e division militaire (DM) de Marseille, accueille en gare de Marseille Saint-Charles l'un des premiers convois de prisonniers de guerre français rapatriés d'Allemagne via la Suisse. Parmi eux se trouvent des spahis du 7e régiment de spahis algériens (RSA) dont le chef de corps, le lieutenant-colonel Turcy, est présent.
Elle en libère environ 200 000 dans les semaines qui suivent. Au début de l’année 1941, des accords passés entre l’Etat français et les autorités d’occupation permettent la libération d’une partie des prisonniers de guerre français en Allemagne.
Il s’agit des pères de famille de quatre enfants mineurs, des frères aînés de quatre enfants, de certaines catégories de fonctionnaires, d’agriculteurs et d’artisans nécessaires au redémarrage de l’économie nationale.
Ces hommes sont placés en "congé de captivité" et gardent le statut de prisonniers de guerre ; à ce titre, ils doivent régulièrement se faire enregistrer auprès de la Kommandantur la plus proche de leur domicile.
Le 24 janvier 1941, le général de division Jules Decamp, adjoint au général commandant la 15e division militaire (DM) de Marseille, accueille en gare de Marseille Saint-Charles l'un des premiers convois de prisonniers de guerre français rapatriés d'Allemagne via la Suisse. Parmi eux se trouvent des spahis du 7e régiment de spahis algériens (RSA) dont le chef de corps, le lieutenant-colonel Turcy, est présent.
Photos du reportage(8)
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