Les Baux (Bouches-du-Rhône). Spahis dans les ruines du château. [légende d'origine]

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Les Baux (Bouches-du-Rhône). Spahis dans les ruines du château. [légende d'origine]

Photographe(s) : Henri Bilowski

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Catégories

Première guerre mondiale

Arme blindée et cavalerie (ABC)

SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918)

Sites remarquables du patrimoine

Milieu naturel, faune et flore

Armée d'Afrique

Mots clés

Montagne Ruine Spahi

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	9x12
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 61 V 1923
Date de début	23/04/1917
Date de fin	28/04/1917
Photographe(s)	Henri Bilowski -
Lieu(x)	Bouches-du-Rhône - Provence-Alpes-Côte d'Azur - Baux-de-Provence (Les) -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Henri Bilowski/ECPAD/Défense
Domaine public	Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Spahis et tirailleurs dans le sud de la France, avril 1917.

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Description du reportage

Dans les Bouches-du-Rhône, un groupe de spahis marocains part de Saint-Rémy-en-Provence en direction d'Arles. Ils empruntent la route de Beaux-en-Provence, dont le village et château sont détruits. Arrivés à Arles, des pelotons de mitrailleurs s'exercent au tir à genoux, aux bonds en avant et au maniement d'armes. Les compagnies en colonne par quatre et les bataillons défilent dans le camp. A quelques kilomètres de là, la maison de convalescence de San Salvadour accueille des tirailleurs marocains qui pratiquent des jeux (jeu de tonneau) dans les jardins.

Le même jour à Alès dans le Gard, un commandant passe en revue des tirailleurs marocains au Fort Vauban. Les soldats marocains jouent aux cartes, sont employés aux cultures puis se rassemblent pour la soupe, partagée avec le capitaine Creutzer.

A Aix-en-Provence (28 avril 1917), le 5e régiment de tirailleurs algériens (5e RTA) défile, les porte-fanions en tête, suivis des compagnies du régiment. Une nouba est organisée avec instruments et danses traditionnelles. Au camp, les tirailleurs, dont des officiers, s'exercent au saut d'obstacle, à la gymnastique, avant de se laver les pieds.