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Poste d'observation du DETOBS, Beyrouth.

Photographe(s) : François-Xavier Roch



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Poste d'observation (Poste Régie) tenu par le capitaine Simon et le lieutenant Le Rumeur du détachement d'observateurs à Beyrouth. Le poste est équipé d'une binoculaire.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 24x36
Support d'origine Acétate
Couleur Noir et blanc
Orientation paysage

Propriétés

Référence 0 984 240 01 36
Date de début 30/05/1984
Date de fin 03/06/1984
Photographe(s) François-Xavier Roch -
Lieu(x) Beyrouth - Liban -
Origine ECPA
Mention obligatoire © François-Xavier Roch/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Observateurs français et détachement de gendarmerie à Beyrouth (Liban).

Voir la notice du reportage

Description du reportage

La France est présente au Liban depuis 1978 lorsque l'ONU décide de créer la FINUL (Force intérimaire des Nations-Unies au Liban) et le 15 mars 1979 les français quittent le territoire libanais. Après la création de la FMI (Force multinationale d'interposition) par l'ONU, la France renvoie un détachement sous le nom de code Epaulard le 25 mai 1982. Le détachement quitte le pays sous la pression des Etats-Unis. La FMSB (Force multinationale de sécurité à Beyrouth est mise en place par le Conseil de Sécurité de l'Onu suite aux massacres de réfugiés palestiniens dans le camps de Sabra et Chatila le 17 septembre 1982. Les derniers éléments français de la FMSB quittent Beyrouth le 31 mars 1984 et laissent place à 40 observateurs, les "casques blancs". Ils ont pour mission de repérer, d'identifier, de situer et de relater les anomalies et les infractions telles que : violations du cessez-le-feu, incidents aux points sensibles, opérations de réarmement clandestines, etc.

Ce reportage aborde les thèmes suivants :
-Le lieutenant Fleuriaux commandant le détachement des observateurs,
-Le poste de la Régie : contacts avec les soldats de l'armée libanaise,
-La vie quotidienne des observateurs à la résidence des Pins : lessive, réparation d'automobiles, dîner,
-Le poste à Tayoune : douche observatoire,
-Les patroiuilles en jeep,
-L'observatoire de la Tour Rizk : observation des dégâts provoqués par l'explosion d'un obus 106, vues de Beyrouth au lever du jour,
-La salle de soins à l'infirmeies de la résidence des Pins,
-Le comité de l'hippodrome en présence du capitaine Moreau, de représentants de l'Armée libanaise et des Forces libanaises.

En 1978, la Gendarmerie fait son entrée dans le dispositif onusien. Au sein de la FINUL (Force Intermédiaire des Nations Unies au Liban), elle est chargée de la police militaire jusqu’en 1984. Puis, pendant deux ans, elle endosse le casque blanc en tant qu’observateur et fait respecter le cessez-le-feu entre militaires libanais et miliciens druzes.

Les principaux thèmes de ce reportage sont les suivants :
- Le croiseur Dupleixen rade de Jounieh ;
- L’approche en vedette du port de Jounieh ;
- Le colonel Fleutiaux, commandant le détachement des observateurs et les personnels du poste de commandement à la résidence des pins ;
- La vie quotidienne et les activités (poste de garde, poste d’observations) des gendarmes à la Résidence des pins et de Baabda, à Tayoune, au poste de Toul-Rizsk, rue Clemenceau à l’ambassade de France, au sud de Beyrouth et à l’aéroport ;
- Les différents contacts avec les militaires libanais et les miliciens ;
- Les réunions du comité de l’hippodrome avec les Libanais et les Français.

Photos du reportage(231)