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Stupa monumental du Phnom de Phnom Penh. [description provisoire]

Photographe(s) : Henri Gahéry


Vue en contre-plongée du stupa présent au sein du Wat Phnom. Ce dernier repose sur une base carrée de 26 mètres de chaque côté et s'élève à une hauteur de 42,25 mètres, sur deux étages.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 6x6
Support d'origine Nitrate
Couleur Noir et blanc
Orientation portrait

Propriétés

Référence CA 52-129 R22
Date de début 01/07/1952
Date de fin 15/07/1952
Photographe(s) Henri Gahéry -
Lieu(x) Cambodge - Indochine française - Phnom Penh -
Origine SPI (service presse information)
Mention obligatoire © Henri Gahéry/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Les principaux monuments de Phnom Penh : entre modernité et tradition.

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Description du reportage

Reportage proposant un aperçu de l’identité urbaine de Phnom Penh en juillet 1952, marquée par la coexistence de l’héritage khmer et des influences architecturales de la colonisation française.

Entre modernisme et tradition, Phnom Penh possède de nombreux édifices historiques où l’influence khmère prédomine sur les monuments sacrés et royaux, au Wat Phnom, ainsi qu’au Palais royal, vaste complexe réunissant des pavillons comme celui du Clair de lune et la salle du trône dont la flèche culmine à 59 mètres de hauteur. Une maison flottante sur le Mékong confirme le lien entre le nouveau et l’ancien.
L’influence architecturale coloniale française est également marquée par plusieurs réalisations datant du début du XXe siècle : le petit marché datant de 1915 et d’autres œuvres des années 1930 aux styles Art Déco, comme le grand marché couvert, l’hôtel Le Royal, le stade Lambert, la gare et la bibliothèque.
D’autres lieux symboliques témoignent de la présence française au Cambodge avec la stèle réalisée en l’honneur du pacte franco-siamois de 1907, ainsi que le monument aux morts de la Première Guerre mondiale, présentant un soldat français aux côté d’un soldat cambodgien. L’église du Sacré-Cœur, détruite durant la révolution khmère, constituait l’une des présences catholiques visibles dans une ville dominée par la religion bouddhiste et ses nombreux symboles.

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