Surveillance du secteur du bordj de la 2e section du 22e régiment d'infanterie coloniale (RIC).

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Surveillance du secteur du bordj de la 2e section du 22e régiment d'infanterie coloniale (RIC).

Photographe(s) : Courrière

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Sur la terrasse du bordj Zouj el Beghal de la 2e section du 22e régiment d'infanterie coloniale (RIC) commandé par le lieutenant Cousin, un tirailleur sénégalais équipé de jumelles surveille le secteur.

Catégories

Guerre d'Algérie (1945-1962)

Fortifications

Section Algérie (1956-1963)

Troupes coloniales / Troupes de marine

Matériel d'optique et jumelles français depuis 1945

Mots clés

22e RIC Observation Surveillance Tirailleur sénégalais

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x6
Support d'origine	Acétate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	portrait

Propriétés

Référence	ALG 56-188 R3
Date de début	04/08/1956
Date de fin	04/08/1956
Photographe(s)	Courrière -
Lieu(x)	Algérie - Région d'Oran -
Origine	SCA/Algérie (service cinématographique des armées en Algérie)
Mention obligatoire	© Courrière (base1914_1991)/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Pose de barbelés à la frontière algéro-marocaine.

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Description du reportage

Les confins algéro-marocains posent des problèmes aux autorités algériennes à cause de l'infiltration des membres de l'ALN (l'Armée de libération nationale) par le Maroc. A Oujda (Maroc) se trouve un camp d'entraînement de cette armée qui rend la région instable.
Sur la route nationale Tlemcen-Oujda, la 2e section du 22e RIC (régiment d'infanterie coloniale), sous les ordres du lieutenant Cousin [1], contrôle une partie de la frontière algéro-marocaine afin d'éviter les incursions. Les soldats tentent de sécuriser la région oranaise et de surveiller cette "zone interdite" [2].
Une section du 106e RG (régiment du génie), aidé de goums, pose des barbelés à Zouj El Beghal pour " imperméabiliser " la frontière.

Note : correspond au film ACT 5486 de Claude Giorgetti

[1] Mentionné dans le compte rendu de l'opérateur de prise de vues et celui du photographe.

[2] Par "zone interdite" on entend généralement un réseau de barbelés délimitant un "no man's land" surveillé par des soldats. La frontière algéro-marocaine mesure environ 700 km de long selon un axe nord/sud.

"Bataille des frontières".