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Les Annales de la guerre n°29.

Réalisateur(s) : Inconnu



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En Angleterre".
Carton " Comme leurs sœurs de France, partout où il était possible, les femmes anglaises ont remplacé les hommes. Aux champs ".
Des femmes en vêtements de travail (blouse courte et pantalons) conduisent un tracteur attelé à une faucheuse-lieuse et transportent les gerbes. D’autres conduisent un tracteur tirant une herse.
Carton "A l’usine".
Dans une usine d’aviation des femmes effectuent des travaux de précision sur des éléments d’ailes et font de la soudure. Portrait d’une ouvrière en plan rapproché.
Carton "Celles-ci engagées dans la "Women Legion" vont quitter l’Angleterre pour se rendre au front, où elles seront utilisées dans les services immédiats de l’arrière".
Départ des volontaires en uniforme et défilé dans une rue londonienne.

"L'entraînement de l'Armée américaine sur le front français". (TC 00:02:23) (1)
Carton "Des officiers d’artillerie américaine partent survoler les lignes pour le réglage de l’artillerie lourde".
Le 26 septembre 1917, en compagnie d'aviateurs français, ils sont rassemblés sur le terrain d'aviation de Saint-Amand-sur-Ornain près d'un bimoteur de reconnaissance Letord 4. Un pilote français (un chasseur à pied) et un pilote américain s'équipent et l'avion décolle.

"L'utilisation des prisonniers dans la zone de l'arrière, à Saint-Dizier" (TC 00:03:46) (2)
Carton "Les uns travaillent dans les bois, les autres extraient de la pierre pour la réfection des routes".
Le 5 septembre 1917, prisonniers allemands employés au terrassement avec des brouettes et au bûcheronnage en forêt où ils préparent des stères de bois bien rangés.
Carton « Après le travail, le retour au camp".
Carton "L’installation de nouveaux baraquements".
Carton "Visite médicale et soins de propreté".
Auscultation dans un baraquement en planches. Prisonnier tondant les cheveux d’un collègue. Lessive au bord d’un canal.
Carton "L’heure de la soupe".
Filmés en plongée et plan panoramique, la foule des prisonniers attend la distribution. Gros plan sur les marmites de nourriture.
Carton "Le repos".
Prisonniers jouant aux cartes.

"Le prince de Connaught a visité diverses parties du front français et remis des décorations". (3)
Carton "En Alsace".
A Bessoncourt, Territoire de Belfort, le 12 septembre 1917 (TC 00:06:48), le prince de Connaught, en compagnie d'officiers français et britanniques, décore le général Rouquerol de la croix de Saint-Michel et de Saint-Georges, puis assiste au défilé des soldats du 144e Régiment d'infanterie sur une plaine.
Carton "Sur le front de l'Aisne". (4)
Carton "Un glorieux trophée : le drapeau des chasseurs".
A Belleu, le 27 septembre 1917, accompagné du général Maistre, le prince salue un drapeau lacéré par la mitraille. Après avoir félicité le commandant des chasseurs et décoré des officiers, ils assistent au défilé des soldats.

Carton "A Noyon". (5)
Dans l’Oise, le 27 septembre 1917, accompagné du général Humbert, le prince passe en revue un détachement du 32e Régiment d'infanterie et décore un soldat au cours d'une prise d'armes à laquelle assistent de nombreux civils. La cérémonie est suivie d’un défilé.

Carton de la section cinématographique de l’armée française.

Notes :
Documents officiels de la Section Cinématographique de l'Armée française.
Métrage d’origine inconnu ; métrage conservé202 m.
1+18 cartons en français.
Film n° 613 dans la numérotation d’origine et dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
(1) Compte rendu de tournage n°827 de René Meunier et reportage photographique SPA 92 S d’Emmanuel Mas.
(2) Comptes rendus de tournage n° 744 et n° 745 de Fernand Baye ; reportages photographiques SPA 53 E et SPA 51 E d’Amédée Eywinger.Voir également films 14.18 A 29 et 14.18 B 498.
(3) Compte rendu de tournage n° 796 de Charles Lemoine et reportage photographique SPA 3 CL du même.
(4) Compte rendu de tournage n° 829 de René Meunier et reportage photographique SPA 93 S d’Emmanuel Mas.
(5) Compte rendu de tournage n° 819 d’Alfred Machin et reportage photographique SPA 76 D d’Edouard Brissy.